Pour le directeur d’Orly, le TGV serait une chance parce que "le client qui veut aller à Strasbourg ou à Lyon prendra le train et cela libérera de la place pour que de nouvelles compagnies aériennes internationales s’installent". En effet, aujourd’hui, le développement d’Orly est freiné par le nombre de mouvements aériens plafonné à 220000 par an.