The Rolling Stones #2 :
Mick Jagger : chant
Keith Richards : chant, guitare
Bill Wyman : basse
Charlie Watts : batterie
Mick Taylor : guitare solo
Octobre 1974, nouvel album : “It’s Only Rock’n’Roll” (#2 UK-#1 US),produit par The Glimmer Twins (Jagger & Richards).
If you can’t rock me (Jagger-Richards)
Ain’t too proud to beg (Whitfield-Holland)
It’s only rock’n’roll (Jagger-Richards)
Till the next goodbye (Jagger-Richards)
Time waits for no one (Jagger-Richards)
Luxury (Jagger-Richards)
Dance little sister (Jagger-Richards)
If you really want to be my friend (Jagger-Richards)
Short and curlies (Jagger-Richards)
Fingerprint file (Jagger-Richards)
Musiciens additionnels :
Billy Preston : claviers
Nicky Hopkins : claviers
Ian Stewart : claviers
Ray Cooper : percussions
Kenny Jones : percussions
Willie Weeks : basse
Le titre “It’s only rock’n’roll” me semble inspiré par Marc Bolan, mais l’album cite d’abord leur pote de longue date Ronnie Wood.
La superbe pochette est due à l’artiste Guy Pellaert (“Diamond Dogs” pour Bowie et le livre “Rock Dreams”).
Un album qui montre un virage certain vers une soul blanche, virage confirmé sur l’album suivant, mais surtout qui donne l'impression que les Stones courent encore après les modes du moment (ici le glam rock).
Les Stones quittent donc gentiment le monde du rock pour celui du disco et c’est peut-être la raison pour laquelle je n’aime pas trop cet album, malgré de bons titres comme “Dance little sister” et “Fingerprint file”.
Deux singles en seront issus : “It’s only rock’n’roll /Through the lonely nights (inédit)” (#10 UK-#16 US) et “Ain’t too proud to beg/Dance little sister” (#17 US).
A voir : la vidéo du titre “It’s only rock’n’roll” dans laquelle Charlie Watts a bien failli étouffer sous la mousse.
En décembre 1974, Mick Taylor annonce son départ des Stones et après avoir envisagés Jeff Beck ou Peter Frampton, les Stones engagent Ron Wood qui les rejoint pour leur tournée américaine de 1975.
D’après ses dires, Taylor aurait contribué à de nombreux titres des Stones, mais ne fut crédité que sur “Ventilator blues” sur l’album “Exile On Main Street”.
© Pascal Schlaefli
I know it's only Urba City but I like it....yes I do.
Janvier 2011