Parlons d’elle aujourd’hui
qui appartient à deux rives,
écrivant la douleur des destins assumés,
“Et, sans quelle sache pourquoi, le tableau d’Edvard Munch revient à ses yeux. Le Cri… La bouche qui s’ouvre, béante, immonde… Cri étouffé par les vitres. Il se propage en larges ondes concentriques. Déforment l’espace qu’elles envahissent, s’y diffusent en un malstrom silencieux.”
Connaissez-vous cette femme écrivain
à l’identité plurielle
et le titre du roman évoqué?
Image empruntée à ce site