De l'art d'écrire l'histoire

Désolée de ne pas vous avoir fait signe plus tôt sur le sujet mais j’avais du boulot, encore du boulot et beaucoup du boulot !

@Slim404 est libre, je dis ça pour les lecteus qui ne twittent pas et qui avait lu ce billet. Je n’ai appris par @JudeVlad et ensuite… et ensuite ? Ensuite, tout s’est accéléré et les Tunisiens ont décidé d’écrire eux-mêmes leur propre histoire.

La suite, vous la connaissez via les médias traditionnels, via le web, etc… donc je n’y reviendrai pas. Je vais juste vous conseiller d’aller lire ce que nous racontait @Melclalex et les cogitations antérieures au départ de Ben Ali de @Vogelsong sur les premières réactions de la France face à la révolution.

L'effet domino ?

A ceux qui nous parlent de l’effet Domino, ça commence à opiner du chef en Jordanie. Et c’est vrai que ce pays est TRES cher, même pour les backpackers que je reçois et qui ont un peu de sous de côté pour voyager. Très cher si on le compare au Liban, à la Syrie, à l’Egypte…

A ceux qui nous parlent d’Egypte, je ne crois pas foncièrement que la situation bougera. J’y reviendrai un de ces jours dans un prochain billet que je dois prendre le temps d’écrire.

En tout cas, la belle claque qu’on prend. Quand certains Français nous parlent de pays sous développés, les Tunisiens ont réussi à changer les choses chez eux. Alors que chez nous, on reste bien au chaud devant TF1.

Et chez nous ?

La révolution, c’est pour demain ? Non, faut accompagner la petite à la danse… après demain alors ? Laissons donc faire les politiques… ok. Pendant que les responsables des partis de gauche scient la branche sur laquelle ils ont posés leur émérites fesses, on attend, nous, que sorte enfin un projet concret, des idées, des envies, des espoirs… et ça URGE !