Un lieu inapproprié ou absolument pertinent ? Une forme d'art ou un gaspillage pur et simple ?
Dans cette capture, on y perçoit tout de même un lien avec le partage de nos contenus. On pourrait rester un bout de temps à essayer de comprendre le "pourquoi" de cette disposition et de l'emplacement, comme on passerait un certain temps à décrypter les décisions et les actions d'autres personnes... pour éventuellement les reproduire (presque mécaniquement ?).
Ce qui est visible ne représente absolument pas le tout, et peut induire en erreur.
Mieux vaut partir de soi, des contextes qui nous importent, des voies de changement auxquelles on croit vraiment et qui nous attirent... des éléments qui aliment notre perception de ce qui aurait du sens ou pas. Point de départ.
On dépasse ainsi les questions liées au simple positionnement de communication, pour ensuite créer un signal plutôt qu'un bruit.
Voilà aussi pourquoi les entreprises doivent rester lucides face aux différentes études de cas. Il est tentant de faire du copier/coller en espérant d'obtenir des résultats similaires à ceux de l'original. Si ces études de cas sont utilisées, elles devraient servir pour inspirer; avec le "pourquoi" de chaque initiative en première ligne.
Au niveau de la personne souhaitant s'appuyer sur les technologies sociales, passer à côté du pourquoi (et s'éloigner du sens que l'on devrait poursuivre) est un pas de plus vers l'invisibilité et la chambre d'écho.
Je vous renvoie vers l'excellent article de Dominique Gibert sur le blog de Diateino !