Un site internet désormais réservé au cochon de payeur. Un prix d’abonnement débile de Fr. 300.– par an simplement pour accéder au site, mais de près de Fr 500.– pour avoir droit à du papier.
Une qualité qui ne cesse de baisser au profit d’une dissémination étrange des cadres des sujets traités. Le Temps fait tout juste pour perdre des visiteurs sur son site, perdre en rentrées publicitaires sur ce dernier et perdre des lecteurs potentiels et effectifs pour son édition papier.
Drôle d’orientation capitalistique pure et dure dont il reviendra forcément un jour, plus vite même qu’il ne le croit. Mais pour ça il faut savoir faire la balance entre l’importance d’une présence médiatique gratuite et l’existence d’une édition papier.
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