Il était — et il est — une fois une association spécialiste du droit des étrangers, le GISTI. Pour mettre son savoir à la disposition de ceux qui en ont besoin, il tient des permanences juridiques gratuites, édite des publications et organise des formations.
A chaque compétence du GISTI correspond un contact particulier. En dépit de son activité multiforme, le GISTI est une petite structure fragile, très sollicitée par un public souvent sans grands moyens financiers. De ce fait, il a besoin de l’aide de ceux qui l’estiment utile. Naturellement, le GISTI travaille en relation et en collaboration avec d’autres organisations amies.
Permanences juridiques
Vous pouvez bénéficier des conseils juridiques éclairés du Gisti de deux manières :
• contactez la permanence téléphonique ;
• envoyez au Gisti un courrier décrivant la situation.
Comment commander des publications ?
Rien de plus simple : écrire au GISTI (3 villa Marcès, 75011 Paris, France) en joignant à votre commande un chèque libellé à l’ordre du GISTI et d’un montant correspondant à la somme du prix des ouvrages demandés. N’oubliez surtout pas d’y ajouter le prix du port.
Si vous connaissez seulement le ou les titre(s) des ouvrages que vous voulez obtenir, vérifiez leur prix et celui du port dans la rubrique des publications qui comporte les bons de commande.
N’oubliez pas que la survie et l’indépendance du GISTI sont assurés par son pouvoir d’autofinancement. En ce domaine, la vente de ses publications est vitale.
Soutenir le GISTI, c’est aussi s’abonner à sa revue trimestrielle « Plein Droit » et à ses autres publications, et faire en sorte que d’autres s’y abonnent.
Evitez toute commande par téléphone, par fax ou par courrier électronique. Vous compliqueriez le travail du GISTI qui, répétons-le, est une petite structure saturée.
Evitez tout « photocopillage ».
Quelles formations ?
Depuis qu’il existe, le GISTI dispense des formations à celles et à ceux qui, pour des raisons professionnelles ou pour des motivations militantes (les deux ne sont pas incompatibles), veulent en savoir plus sur la réglementation relative aux étrangers. Le GISTI est agréé au titre de la formation professionnelle et déclaré à la préfecture sous le numéro 117 510 42 475. Dans ce cadre, il faut prévoir un coût moyen de 167,5 € par jour et par personne.
Les candidats qui souhaiteraient y participer à titre individuel sont invités à prendre préalablement contact avec l’association (GISTI, Service Formation :
3 villa Marcès, 75011 Paris, France
tél. 01 43 14 84 82/83
Email : formation.gisti arobase ras.eu.org ).
Le GISTI propose un programme de sessions payantes de 5 jours (formation générale à la réglementation) ou de 2 jours (sur des thèmes spécialisés). Il étudie aussi des propositions de formation qui émanent d’organisations ou de groupes soucieux d’acquérir une compétence définie en fonction de leurs besoins.
Pour le programme, pour tout renseignement ou pour savoir comment s’inscrire, allez sur la page consacrée aux formations.
N’oubliez pas que, comme la vente des publications, celle des formations constitue un des moyens essentiels d’autofinancement du GISTI, c’est-à-dire une des clefs de sa survie et de son indépendance.
Aider le Gisti ?
Le GISTI est une association de petite taille aux moyens humains et financiers limités. La situation difficile d’un nombre croissant d’étrangers pèse lourdement sur lui à divers titres : charge de travail des bénévoles et des salariés en raison du nombre des questions relatives à des situations individuelles ; multiplicité des demandes d’interventions et de formations ; nécessité de publier de plus en plus de documents adaptés aux besoins de publics variés, qui n’ont pas toujours les moyens de les payer.
Tout cela fait que le GISTI n’est pas toujours aussi disponible qu’il le souhaiterait et qu’il est sans cesse sur la « corde raide » à la fois sur le plan de sa capacité à répondre aux sollicitations et sur le plan financier. Il suffit de lire ses bilans d’activités pour s’en convaincre.
Si le GISTI est fortement interpellé, c’est sans doute qu’il est utile. La survie de l’association paraît donc constituer en soi un objectif légitime. Encore faut-il que le souci de sa continuité n’hypothèque pas l’indépendance du GISTI. Sauf à y perdre son âme, le GISTI doit absolument limiter la part des subventions publiques dans son budget.
Ce constat d’utilité et de faiblesse montre à quel point le GISTI a besoin d’aides : aides de bénévoles mettant du temps et des compétences à sa disposition ; aides financières à travers des souscriptions d’ abonnements, des achats de publications, des dons, des inscriptions à ses formations.
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