L’OUÏ DU FAUCON
Le cri
de l’âme est plus aigu
que celui
des oiseaux.
Plus mince plus nu
plus ébloui
par le silence répandu
sur l’immensité des mots.
(Jean Mambrino)
L’OUÏ DU FAUCON
Le cri
de l’âme est plus aigu
que celui
des oiseaux.
Plus mince plus nu
plus ébloui
par le silence répandu
sur l’immensité des mots.
(Jean Mambrino)