À perte de vie une égarée sent la tristesse
qui la poursuit au fil du labyrinthe
sur ses traces mortelles; et soudain renonce
à retrouver l’origine et l’or de son nom.
Mais le labyrinthe est construit à ciel ouvert,
d’où fusent des yeux de rosée qui étincellent
sur les herbes et les pierres, illuminant
un sentier minuscule vers la Jubilation.
(Jean Mambrino)