11/01/2011
par Lully
En effet le mail de teasing que j’ai reçu ce week-end parlait d’une nouvelle définition par jour. Or ce matin j’en découvredeux(AmazonetAdjoint à la culture) !Notons que lapage de présentation, elle, est correctement renseignée. C’est donc le publiciste qui était mal renseigné, ce qui prouve que la communication en bibliothèque a encore de l’avenir (j’attends d’ailleurs la lettre C avec frémissement).
LeDictionnaire [du diable] des bibliothèques, c’est un projet émanant d’on ne sait pas trop qui (de toute façon, je ne vais pas conspuer des pseudos) de dictionnaire professionnelà peinedécalé, et qui s’avère un brin délicieux.
Très bêtement, j’apprécie en particulier la fin de la définition deADBGV(on a l’humour qu’on peut). L’invocation de la sobre pureté de Telnet (entréeAmazon) résonne également à mes oreilles et dans mon coeur.
Remercions le BBF qui l’a refusé : il est bien mieux à sa place sous cette forme de publication progressive.
En parlant de forme, je déplore que les nouvelles définitions quotidiennes (deux, donc) ne s’intègrent pas dans un flux RSS + compte Twitter.
Faudrait-y donc que je fasse un pype pour les récupérer !?!?
Source :
http://bibliotheques.wordpress.com/2011/01/11/le-dictionnaire-du-diable-ne-tient-pas-ses-promesses/