L’Escale Pakito, bar basque, concerts, salsa, tapas.
15 rue Monsieur Le Prince, 75006 Paris.
Tél. : 01 43 54 63 47 – 06 60 49 88 98. Site Web.
Je retrouve Guilhem vers 20h15 sur la place Henri Mondor, bise, ça faisait 2 mois que nous ne nous étions plus vus. J’avais repéré l’escale Pakito il y a quelques temps, sans avoir forcément envie de tester. En voyant la liste des tapas sur leur site web, et après un passage devant un vendredi soir, je me dis que ça se teste. Guilhem était pour aussi, donc hop! Ah oui, Pakito, c’est une chaine de bar à tapas basques (des pinxo on dit, je crois).
Nous sommes les premiers clients de la soirée semble-t-il. Il y aura un concert un peu plus tard en bas, mais c’est assez vide pour l’instant. Grâce à Guilhem et au PSG, le contact avec le patron (Vincent?), originaire de la région de Bayonne passe bien. Une pinte d’Oldarki blonde (7€? peut être 8€, il semble qu’il y ait eu une majoration concert…) chacun. Pinte en plastique pour ceux qui fument, en verre pour les autres, pas bête! On demande ce qu’ils ont comme tapas. Et là, petite déception : il n’y a plus de fromages (moi qui révait justement de fromage basque), je crie presque au sabotage. Par contre, il y a de la charcuterie, et des mini-piquillos. Nous demandons donc une assiette, avec piquillos, chorizo, lomo, et serrano. Bon pain.
Pas léger, mais ça passe plutôt bien, c’est bon, mais le lomo tient mal la comparaison avec le serrano. Moi j’aurai pu m’arrêter là, mais pas Guilhem, que je découvre fan de ce blog. Il faudra que tu m’épèles le nom du japonais dont tu m’as parlé, je ne le retrouve pas. Et comme je fais des messages perso : Aude, merci! Guilhem est allé chez Pepone et a bien aimé, très bon contact avec le patron qui leur a offert la grappa en fin de repas. Voilà, on va s’arrêter là pour les messages personnels. Le patron nous abandonne pour s’occuper du bar du bas (où il commence à y avoir foule, puisque le concert démarre). Nous nous retrouvons avec un autre bar-tender, moins bavard. Mais nous lui recommandons quand même à manger. Piquillos again, petites saucisses chaudes (top, légèrement épicées), et un mix chorizo fine tranché et serrano. Ouf, nous avons tout liquidé, c’est moche la gourmandise, mais ça a l’air de famille, nos origines communes parisiano-bourguignonnes ne sont pas éteintes. Ah oui, et encore une pinte chacun…
Malgré la petite déception (carte limitée, nous apprendrons d’ailleurs qu’ils ne proposent que charcuterie et fromage ici, pas la place pour faire autre chose, par contre, il faudra tester celui de Bastille), nous avons plus que bien picoré et bu (3 pintes chacun, finalement, mais ce sont des pintes basques, ça trompe).
Bilan : 73€ à deux (6*8=48€ de bières + 25€ de tapas, ou alors 6*7=42€ de bières + 31€ de tapas). On ne saura pas. En voyant ma masse le lendemain, je me dis que finalement, ce n’est pas cher du kilo pris… À part ça, l’endroit n’a rien de remarquable à l’intérieur, le bar du haut prend une grande partie de la profondeur à droite, il y a quelques mini tables+ tabourets à gauche, miroir, un écran géant qui passe infosport. La clientèle était assez biaisée, puisque des amis des musiciens. J’ai testé, je ne suis pas sur d’y retourner (le PSG et le foot à la TV, bof), j’ai vu qu’il y avait parfois des soirées electro, why not, pour voir. Faudra tester celui de Bastille.