Les fantaisies désastreuses de la BNS, avec ses achats inutiles et ridicules d’euros à la baisse, vont coûter plus de 30 milliards de francs suisses, rien que sur l’exercice 2010.
Beaucoup plus que ce que la France a dû injecter pour sauver ses banques en 2008 …
Et pendant ce temps, les responsables de cet institut « indépendant » se pavanent sans honte ni responsabilité. Du côté des politiques, comme d’habitude, on n’a pas vu passer le train et on refuse de s’en mêler, sauf Broulis l’économe besogneux âpre au gain qui râle.
Mais tout le monde à Berne se moque de ce que peut bien penser un conseiller d’Etat vaudois, même quand il a raison.
A part ça, le franc suisse continue sa cavalcade à la hausse. Grâce aux bons soins des grandes banques suisses et de leurs traders. Eux, ils gagnent au change …car dans une transaction il y a toujours un gagnant et un perdant.
Et comme toujours en pareilles circonstances, le perdant est le citoyen contribuable lambda. C’est fou ce qu’il peut perdre ce citoyen-là, sans aucun pouvoir ni aucune intervention possible.
Au juste, les élections fédérales sont en octobre 2011, le moment de se souvenir que les partis bourgeois et l’UDC sont les promoteurs de ce système depuis des lustres.
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