Interrogé hier au « Grand Jury RTL-Le Figaro », Guillaume Pépy, président de la SNCF, a reconnu et regretté l’existence des « grèves-réveillon ». Les syndicats avaient en effet, cette année encore, posé des préavis de grève pour les soirs des 24 et 31 décembre, afin de permettre aux agents censés travailler à ces dates de rester chez eux pour réveillonner. Ces grèves ont provoqué des perturbations massives dans les transports, et Guillaume Pépy l’a regretté : « ces grèves-là sont principalement déclenchés par le syndicat SUD-Rail depuis plusieurs années. Elles sont constitutionnelles. Pour être légales, elles n’en sont pas moins choquantes ». Sans pour autant proposer de solutions pour l’an prochain… Pourquoi ne pas interdire les préavis de grêve les jours de fête, tout simplement ?
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