Pas en vrai j’en conviens mais c’est tout à fait ça : une rencontre. Je m’explique.
C’était la veille de Noël (je vous passe le coté particulier de ce jour mi-excitation, mi-magique, mi ce que vous voulez). Je reçois dans ma boîte aux lettres un adorable et somptueux colis : un cadeau signé Elizabeth Arden. Je connaissais cette marque of course, à travers les films américains surtout où toute chic demoiselle et riche dame sortent d’un institut Elisabeth Arden mais je n’avais jamais eu entre mes mains un produit de leur gamme.
Et voilà comment j’ai rencontré La Dame à travers son histoire et ses produits!
La première sensation c’est le glamour, le luxe, limite l’inaccessible ( ce qui n’est en fait pas du tout le cas car les prix sont très abordables).
Et puis passé le visuel des produits on se penche sur l’histoire. Dans mon joli colis il y avait un livre relatant par photographies le passé de la marque. Tous ces poudriers vintages, ses bâtons de rouge, ces fioles de parfum à la violette superbement conservées. Il ne m’en fallait pas plus pour tomber sous le charme.
On y apprend que cette année Elisabeth Arden fête ses cent ans. Cent ans de luxe, d’innovation, de qualité et de service. L’innovation j’ai pu la testé à travers un chouette poudrier qui intégre un mini broyeur. La poudre est compacte mais en tournant le cadran du poudrier elle se retrouve finement broyée! Du jamais vu! Une belle couvrance. Une formule au mica, à la silice, avec des agents hydratants et des minéraux marins.
Un vrai coup de coeur pour l’histoire de la maison Arden mais aussi une vrai trouvaille niveau produits cosmétiques que je vous relaterai dans nue seconde partie (le temps de passer chez Marionnaud pour m’acheter deux trois produits de la gamme que je meure d’envie d’essayer plus longtemps.
A suivre donc…