Mouvements indiens. Je pensais bien m’arrêter là dans la série mais pas plus tard qu’hier soir, je reçois un commentaire assez drôle au sujet de la vidéo de David « rasta » Rastovich surfant une magnifique vague indienne sur un spot « inconnu ». Et il semblerait que ce spot (et cette vidéo) soit un moteur de business assez opportuniste pour le surf business indien puisque le commentaire fait clairement la promotion d’un surfari à l’indienne, le désormais « famous rasta secret spot » faisant partie du bundle moyennant une petite surcharge financière… Celle-ci serait due à un trajet en bateau de 15 heures, et franchement, on se demande bien pourquoi. Bref, tout ça pour revenir à nos déambulations indiennes prouve bel et bien que le surf indien n’est pas dépourvue de belles choses. Et comment pourrait-il en être autrement avec autant de kilomètres de côtes, hein ?
En regardant l’image d’ouverture de ce post (et en consultant le site de mes amis indiens businessmen) on s’aperçoit qu’effectivement il y a de quoi faire, notamment dans la partie extrême Sud Est du pays… que je ne connais pas (occasion #1) ! On remarque aussi un certain potentiel entre Goa et Mangalore. Ce qui tombe plutôt pile-poil (occasion #2) car cet axe côtier permet également de rejoindre un site fabuleux dont je rêve depuis des années : Hampi, sans doute un des sites les plus majestueux du sous continent.
Mais le fantasme indien ne s’arrêta pas là puisque la « synthèse » fait désormais aussi partie du paysage avec une expérience qui semble fonctionner à Kovalam. On parle ici, d’une vague restructurée grâce à l’installation d’un reef artificiel (occasion #3). Et pour connaître un petit peu ce coin là, ce n’est vraisemblablement pas pour le plaisir des autochtones dont la seule préoccupation est, pour le moment, de se nourrir convenablement. Maintenant, si le surf business permet de changer la donne…