En hommage collatéral à Diogène de Sinope
En apprenant cela, j’ai probablement commis un crime de lèse-majesté aux yeux de ces certains là qui ont de la fonction présidentielle une opinion plus haute ¹ que celle dont je témoigne ici : je me suis dit, sans la moindre culpabilité et la parfaite conscience éclairée de mes propos, totalement imbu de la certitude que m’apporte la détention indubitable de la vérité, que cette maîtrise du vocabulaire par un chien, fût-il border collie, est supérieure au vocabulaire de notre (si petit) président.
Je sais, je sais… Je plaide coupable : je suis, moi aussi, un chien : l’un de ceux d’une école autrefois renommée, dont devrait bien davantage s’inspirer les esprits de cour… et autres courtisans du web.
« ôtez vous de mon soleil », blogueurs de podium.
Bon, ben moi, je retourne dans mon tonneau… Bon dimanche à tous. Et toutes.
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