Pas évident de les approcher sans tomber dans les pièges du tourisme visite-au-zoo-humain, qui consiste à mes yeux à aller le rendre visite sans qu'aucune retombée (économique, culturelle, humaine) n'aille à la communauté. La quête du tourisme responsable implique donc des choix et ne disposant de pas assez de temps pour organiser une rencontre, je préfère ne pas aller les déranger.
Pas évident non plus de comprendre que le gouvernement ne leur donne pas la nationalité thaï, les privant ainsi de tous leurs droits fondamentaux (droit au logement, à l'éducation, accès aux soins).