Sur les larmes divines le papier est couché
En unique lumière terminale beauté
Je sèche tes yeux où meurent les étoiles
Engorgée de tristesse mon amour se dévoile
En écoutant ta voix qui lacère mon coeur
Une nappe de sang pour un peu de rancoeur
Et le ciel qui s'en va quand je te vois pleurer
Car je pourrais mourir sur tes lèvres mouillées
La saveur du passé quand je coule en silence
Sur ta peau mordorée que le soleil jaunit
Par le temps qui fait mal l'ineffable souffrance
D'un futur tourmenté que le désir pâlit