Le changement de cap le plus spectaculaire est celui de l'ex-vice-président Al Gore, qui, après avoir longtemps pris fait et cause pour l'industrie de l'éthanol, estime aujourd'hui qu'il a fait une erreur. Le Prix Nobel de la paix a même reconnu récemment qu'il avait plaidé en faveur de l'éthanol pour gagner l'appui des États ruraux dans sa campagne politique.
(NDLR : Lorsque la science devient une religion il faut se méfier du pape qui la représente.)