Solidarité totale avec le courageux peuple tunisien !
Le temps de la peur est fini !
La maffia qui est au pouvoir en Tunisie avec le sinistre Ben Ali se voit en grandes difficultés. Les éléments les plus courageux du peuple sont engagés dans une bataille pour la démocratie et pour en finir avec la clique d'affairistes et de maffieux qui sèment la terreur. Il faut soutenir les démocrates tunisiens qui montrent avec un courage extraordinaire leur détermination à conquérir la liberté. Nicolas Sarkozy doit être inquiet pour son ami Ben Ali, que ce soit Ben Ali ou lui-même les dirigeants qui défendent ce monde capitaliste et ses dictatures les plus féroces peuvent effectivement se faire du souci, les peuples préparent la contre-offensive pour les chasser du pouvoir et pour changer le pouvoir. Aucun compromis avec ces gens qui n'agissent que pour la surexploitation des peuples ! Aucune illusion sur leurs intentions : ils veulent nous soumettre en esclavage en Tunisie comme en France pour rentabiliser le capital de la classe pour qui ils travaillent. L'auto-organisation des peuples, la création de leurs propres organisations révolutionnaires indépendantes des pouvoirs et des institutions sur des bases démocratiques voilà la voie pour combattre les exploiteurs qu'ils soient ceux des puissances d'argent de l'occident ou ceux de ces mêmes puissances qui partout où elles le peuvent utilisent l'intégrisme religieux pour tromper les peuples. Comme l'a écrit Karl Marx à la fin du manifeste du parti communiste en 1848 : "Prolétaires de tous les pays, unissez-vous !"
En visite officielle en Tunisie en 2008, Nicolas Sarkozy a déclaré n'avoir pas de leçons à donner en droits de l'homme au président Ben Ali. Tant que les affaires marchent, que le pognon
rentre pour la maffia capitaliste en France et en Tunisie, Ben Ali peut se croire protégé. Mais si le peuple Tunisien se mobilise en masse contre le dictateur, celui-ci malgré la répression
qu'il utilise, peut tomber. Tous les démocrates du monde doivent exiger la fin des persécutions du peuple tunisien, la fin de la dictature. L'un des moyens est de faire pression sur nos
propres gouvernements en Europe qui ont soutenu et soutiennent encore le dictateur.