... Je ne veux pas savoir comme Sergei Vasiliev connaît des criminels russes mais il en connaît. Et il les connaît tellement bien qu'il peut les photographier sans craindre pour la vie de sa femme, de ses enfants, sa mère, son père, son Yorkshire, ses frères et ses sœurs, oh oh ce serait le malheur. Car à l'instar du Yakuza Japonais, le Russe aime aussi se piquer la peau à l'encre indélébile pour narrer ses exploits passés tel un vulgaire cochon de Wim Delvoye et ne craint pas de se montrer presque à nu. D'un autre côté, comme le ou les Russes dont il est question sont en prison, ils ne peuvent pas aller loin. Espérons tout de même pour Sergei et sa famille que son travail ait plu.