La presse n'a plus bonne presse. Il suffit qu'Arnaud Lagardère laisse entendre que l'accélération de son désengagement de la presse classique allait intervenir pour que le cours du Groupe grimpe de plus de 9 % comme le 3 janvier. C'est probablement le début d'un retournement stratégique majeur d'un Groupe leader. C'est aussi le signe d'une absence de visibilité sur le devenir économique de la presse classique. Ce qui parait de plus en plus sûr, c'est qu'Arnaud Lagardère va modifier les ancrages historiques de son Groupe. Une nouvelle étape dans le parcours très contesté d'un PDG atypique.