Dimanche, premier réveil vers 9h, se rendormir jusqu’à midi. Il fait moins chaud, puisqu’on a baissé voire coupé le chauffage, ainsi que l’éclairage automatique. Pfou, quelle fatigue, et en plus je suis celui qui a le plus dormi…
Douche, puis petit-déjeuner brunch à base de restes : œufs brouillés aux deux chêvres, boudin noir froid (très bon), andouille, chorizo poêlé + purée de pommes de terre, quelques légumes crus, du fromage. La bouffe est une drogue comme une autre, on (re) devient vite accro. On est conscient qu’on en a déjà assez mangé, mais il y a un manque, une envie, voire un besoin de goûter à tout… et de reprendre quand on a aimé quelque chose (c’est à dire presque tout, ce matin là)… Pas besoin d’alcool par contre…
Je me fais violence pour ne pas me remettre dans l’état de la veille. Un peu de crumble pommes bananes de Christine, de la tarte sablée aux poires de Guillaume, et un peu de gâteau au chocolat. Je devrais pouvoir tenir 24 heures sans rien avaler, après ça…
Caroline et Géraldine sont les premières à repartir. Christine, Denis, Guillaume et moi seront les suivants, un peu avant 15h. Retour presque fluide, à part quelques ralentissements sur l’A6 et pour prendre le périphérique. Denis dépose Guillaume et moi au métro Vaugirard. Je descends à Solferino et suis chez moi vers 16h20.
Un bon petit week end avec la bande des messins presque au complet. David, qui partait pour Montréal samedi, avait une bonne excuse pour ne pas être là. David et Sophie avaient réussi à rentrer de Londres. Rien à dire, c’était agréable et ça s’affine d’année en année. Malheureusement pour moi, la forme n’était pas au rendez-vous, c’est mon seul regret, je n’en ai pas autant profité que prévu…