Positionnons un peu d'information sérieuse sur ce blog. L'université Technologie de Troyes ouvre une nouvelle licence professionnelle avec une spécialité en cybercriminalité.
Alors que la Gendarmerie Nationale forme des enquêteurs dans divers domaines comme la délinquance économique , la délinquance criminelle et j'en passe, l'Université technologie de Troyes ajoute une spécialité à ses coeurs de métiers: la licence professionnelle d’Enquêteur en technologies numériques.
L'Université technologie de Troyes à décidé d'ouvrir une nouvelle licence professionnelle nommée Enquêteur Technologies Numériques. Cette licence permet à des étudiants de se spécialisé dans la CyberCriminalité. Elle ouvrira dès la mi-Janvier, le 17 Janvier pour être exact et proposera cette formation à une vingtaine d'étudiants stagiaires. cette licence en alternance avec le CNFPJ (Centre nationale de formation de la police judiciaire) à Fontainebleau.
En effet de nos jours il existe encore malheureusement les crimes physiques, mais bon nombre de crimes se déroulent sur la toile. Et c'est tout naturellement que la France, et les étudiants Français, se doivent de s'adapter à la criminologie numérique (pédophilie numérique, délits informatiques, détournement bancaires, piratages, ...).
Pour ce qui est du cursus de la Licence Pro on y retrouvera comme le spécifie le site l'informaticien:
- l’analyse des supports numériques
- l’intervention chez un particulier ou une entreprise
- le conseil technique auprès de magistrats
- l’évaluation de saisines
- participation à l’enquête judiciaire
Il est aussi spécifié que des cas pratiques en anglais seront suivis. Les étudiants stagiaires pourront ainsi prétendre dans un futur proche à suivre une dernière étape d'étude spécialisée dispensée à l'UTT le master Sécurité des Systèmes d’Information qui leurs permettra d'ajouter des compétences les rendant aptes à s'attaquer à des enquêtes beaucoup plus complexes dans des domaines internationaux.
C'est, à mon sens, une bonne idée d'ouvrir ce type de formation et donc de sensibiliser les gendarmes à ces risques technologiques.