Sur « Envie d’Entreprendre », un intéressant billet de Bertrand Duperrin (ils le sont d’ailleurs tous) sur la façon dont s’exerce le pouvoir, les enjeux de la collaboration et les risques de « l’abus de chefitude ».
J’ai relevé l’une de ses phrases en particulier, qui m’a rappelé de vieux vécus (tendance Bisounours ayant mal évalué les limites de la coopération
) :Le pouvoir est induit par le statut, l’efficacité avec lequel il s’exerce et le fait qu’il soit productif ou contre productif est par contre question de comportement.
Car c’est la conjugaison des deux (statut + comportement) qui est optimale, et le problème se pose donc plus crucial, quand dans l’entreprise, le statut n’a, pour schématiser, pas un comportement adéquat, et/ou qu’un comportement efficace ne dispose pas du statut.
Le statut sans le comportement a ses limites : celle propres à la non-coopération (coût induit pour l’entreprise), voire l’impact porté par le pouvoir de comportement (surcoût pour le pouvoir de statut de sa « sous-efficacité » relative, comparée).
Autrement dit, comme l’explique Bertrand Duperrin et pour reprendre ses termes, « l’abus de chefitude » a un prix réel pour l’entreprise, et est loin d’être, dans l’absolu, si productif qu’on l’entend parfois. Et il l’est encore moins s’il est mis en balance par la coexistence d’un « chef officieux ».
Le comportement sans le statut a aussi les siennes : celles intrinsèques de la résistance humaine (coût individuel de la coopération), et les frontières d’influence du pouvoir de statut (surcoût pour le pouvoir de comportement de sa « non légitimité ».).
En clair, payer de sa personne pour coopérer, ça produit, mais ça consomme de l’énergie (temps, implication, écoute, partage, etc). Et d’autant plus que c’est circonscrit : un « chef officieu\ » ne fera de miracles que limités, puisqu’il ne dispose pas (ou peu) de cette faculté nécessaire de « dernier ressort », ce fameux moment où il est optimal de s’appuyer sur la légitimité acquise d’animateur pour enfiler la casquette de décideur. L’absence de statut rend l’investissement comportement moins rentable.
L’une ou l’autre situation, le statut sans le comportement et le comportement sans le statut, induisent donc un coût, soit pour l’entreprise (or c’est elle qui est productrice du statut), soit pour l’individu (producteur de son comportement), donc indirectement pour l’entreprise. Dynamique auto-destructrice, puisque dans les deux cas, c’est sur la source même du pouvoir que l’on tire, en laissant pérenniser ou, pire, coexister des situations « monopotentes ».
Pour limiter au maximum le risque pour l’organisation, on voit donc qu’il « suffit » de conférer le statut à qui a le comportement … ou le comportement à qui a le statut ? Tout l’art du management que de trouver et maintenir ce subtil dosage des énergies !
Le statut sans le comportement a ses limites : celle propres à la non-coopération (coût induit pour l’entreprise), voire l’impact porté par le pouvoir de comportement (surcoût pour le pouvoir de statut de sa « sous-efficacité » relative, comparée).
Autrement dit, comme l’explique Bertrand Duperrin et pour reprendre ses termes, « l’abus de chefitude » a un prix réel pour l’entreprise, et est loin d’être, dans l’absolu, si productif qu’on l’entend parfois. Et il l’est encore moins s’il est mis en balance par la coexistence d’un « chef officieux ».
Le comportement sans le statut a aussi les siennes : celles intrinsèques de la résistance humaine (coût individuel de la coopération), et les frontières d’influence du pouvoir de statut (surcoût pour le pouvoir de comportement de sa « non légitimité ».).
En clair, payer de sa personne pour coopérer, ça produit, mais ça consomme de l’énergie (temps, implication, écoute, partage, etc). Et d’autant plus que c’est circonscrit : un « chef officieu\ » ne fera de miracles que limités, puisqu’il ne dispose pas (ou peu) de cette faculté nécessaire de « dernier ressort », ce fameux moment où il est optimal de s’appuyer sur la légitimité acquise d’animateur pour enfiler la casquette de décideur. L’absence de statut rend l’investissement comportement moins rentable.
L’une ou l’autre situation, le statut sans le comportement et le comportement sans le statut, induisent donc un coût, soit pour l’entreprise (or c’est elle qui est productrice du statut), soit pour l’individu (producteur de son comportement), donc indirectement pour l’entreprise. Dynamique auto-destructrice, puisque dans les deux cas, c’est sur la source même du pouvoir que l’on tire, en laissant pérenniser ou, pire, coexister des situations « monopotentes ».
Pour limiter au maximum le risque pour l’organisation, on voit donc qu’il « suffit » de conférer le statut à qui a le comportement … ou le comportement à qui a le statut ? Tout l’art du management que de trouver et maintenir ce subtil dosage des énergies !
Le statut sans le comportement a ses limites : celle propres à la non-coopération (coût induit pour l’entreprise), voire l’impact porté par le pouvoir de comportement (surcoût pour le pouvoir de statut de sa « sous-efficacité » relative, comparée).
Autrement dit, comme l’explique Bertrand Duperrin et pour reprendre ses termes, « l’abus de chefitude » a un prix réel pour l’entreprise, et est loin d’être, dans l’absolu, si productif qu’on l’entend parfois. Et il l’est encore moins s’il est mis en balance par la coexistence d’un « chef officieux ».
Le comportement sans le statut a aussi les siennes : celles intrinsèques de la résistance humaine (coût individuel de la coopération), et les frontières d’influence du pouvoir de statut (surcoût pour le pouvoir de comportement de sa « non légitimité ».).
En clair, payer de sa personne pour coopérer, ça produit, mais ça consomme de l’énergie (temps, implication, écoute, partage, etc). Et d’autant plus que c’est circonscrit : un « chef officieu\ » ne fera de miracles que limités, puisqu’il ne dispose pas (ou peu) de cette faculté nécessaire de « dernier ressort », ce fameux moment où il est optimal de s’appuyer sur la légitimité acquise d’animateur pour enfiler la casquette de décideur. L’absence de statut rend l’investissement comportement moins rentable.
L’une ou l’autre situation, le statut sans le comportement et le comportement sans le statut, induisent donc un coût, soit pour l’entreprise (or c’est elle qui est productrice du statut), soit pour l’individu (producteur de son comportement), donc indirectement pour l’entreprise. Dynamique auto-destructrice, puisque dans les deux cas, c’est sur la source même du pouvoir que l’on tire, en laissant pérenniser ou, pire, coexister des situations « monopotentes ».
Pour limiter au maximum le risque pour l’organisation, on voit donc qu’il « suffit » de conférer le statut à qui a le comportement … ou le comportement à qui a le statut ? Tout l’art du management que de trouver et maintenir ce subtil dosage des énergies !
Le statut sans le comportement a ses limites : celle propres à la non-coopération (coût induit pour l’entreprise), voire l’impact porté par le pouvoir de comportement (surcoût pour le pouvoir de statut de sa « sous-efficacité » relative, comparée).
Autrement dit, comme l’explique Bertrand Duperrin et pour reprendre ses termes, « l’abus de chefitude » a un prix réel pour l’entreprise, et est loin d’être, dans l’absolu, si productif qu’on l’entend parfois. Et il l’est encore moins s’il est mis en balance par la coexistence d’un « chef officieux ».
Le comportement sans le statut a aussi les siennes : celles intrinsèques de la résistance humaine (coût individuel de la coopération), et les frontières d’influence du pouvoir de statut (surcoût pour le pouvoir de comportement de sa « non légitimité ».).
En clair, payer de sa personne pour coopérer, ça produit, mais ça consomme de l’énergie (temps, implication, écoute, partage, etc). Et d’autant plus que c’est circonscrit : un « chef officieu\ » ne fera de miracles que limités, puisqu’il ne dispose pas (ou peu) de cette faculté nécessaire de « dernier ressort », ce fameux moment où il est optimal de s’appuyer sur la légitimité acquise d’animateur pour enfiler la casquette de décideur. L’absence de statut rend l’investissement comportement moins rentable.
L’une ou l’autre situation, le statut sans le comportement et le comportement sans le statut, induisent donc un coût, soit pour l’entreprise (or c’est elle qui est productrice du statut), soit pour l’individu (producteur de son comportement), donc indirectement pour l’entreprise. Dynamique auto-destructrice, puisque dans les deux cas, c’est sur la source même du pouvoir que l’on tire, en laissant pérenniser ou, pire, coexister des situations « monopotentes ».
Pour limiter au maximum le risque pour l’organisation, on voit donc qu’il « suffit » de conférer le statut à qui a le comportement … ou le comportement à qui a le statut ? Tout l’art du management que de trouver et maintenir ce subtil dosage des énergies !
Le statut sans le comportement a ses limites : celle propres à la non-coopération (coût induit pour l’entreprise), voire l’impact porté par le pouvoir de comportement (surcoût pour le pouvoir de statut de sa « sous-efficacité » relative, comparée).
Autrement dit, comme l’explique Bertrand Duperrin et pour reprendre ses termes, « l’abus de chefitude » a un prix réel pour l’entreprise, et est loin d’être, dans l’absolu, si productif qu’on l’entend parfois. Et il l’est encore moins s’il est mis en balance par la coexistence d’un « chef officieux ».
Le comportement sans le statut a aussi les siennes : celles intrinsèques de la résistance humaine (coût individuel de la coopération), et les frontières d’influence du pouvoir de statut (surcoût pour le pouvoir de comportement de sa « non légitimité ».).
En clair, payer de sa personne pour coopérer, ça produit, mais ça consomme de l’énergie (temps, implication, écoute, partage, etc). Et d’autant plus que c’est circonscrit : un « chef officieu\ » ne fera de miracles que limités, puisqu’il ne dispose pas (ou peu) de cette faculté nécessaire de « dernier ressort », ce fameux moment où il est optimal de s’appuyer sur la légitimité acquise d’animateur pour enfiler la casquette de décideur. L’absence de statut rend l’investissement comportement moins rentable.
L’une ou l’autre situation, le statut sans le comportement et le comportement sans le statut, induisent donc un coût, soit pour l’entreprise (or c’est elle qui est productrice du statut), soit pour l’individu (producteur de son comportement), donc indirectement pour l’entreprise. Dynamique auto-destructrice, puisque dans les deux cas, c’est sur la source même du pouvoir que l’on tire, en laissant pérenniser ou, pire, coexister des situations « monopotentes ».
Pour limiter au maximum le risque pour l’organisation, on voit donc qu’il « suffit » de conférer le statut à qui a le comportement … ou le comportement à qui a le statut ? Tout l’art du management que de trouver et maintenir ce subtil dosage des énergies !
Le statut sans le comportement a ses limites : celle propres à la non-coopération (coût induit pour l’entreprise), voire l’impact porté par le pouvoir de comportement (surcoût pour le pouvoir de statut de sa « sous-efficacité » relative, comparée).
Autrement dit, comme l’explique Bertrand Duperrin et pour reprendre ses termes, « l’abus de chefitude » a un prix réel pour l’entreprise, et est loin d’être, dans l’absolu, si productif qu’on l’entend parfois. Et il l’est encore moins s’il est mis en balance par la coexistence d’un « chef officieux ».
Le comportement sans le statut a aussi les siennes : celles intrinsèques de la résistance humaine (coût individuel de la coopération), et les frontières d’influence du pouvoir de statut (surcoût pour le pouvoir de comportement de sa « non légitimité ».).
En clair, payer de sa personne pour coopérer, ça produit, mais ça consomme de l’énergie (temps, implication, écoute, partage, etc). Et d’autant plus que c’est circonscrit : un « chef officieu\ » ne fera de miracles que limités, puisqu’il ne dispose pas (ou peu) de cette faculté nécessaire de « dernier ressort », ce fameux moment où il est optimal de s’appuyer sur la légitimité acquise d’animateur pour enfiler la casquette de décideur. L’absence de statut rend l’investissement comportement moins rentable.
L’une ou l’autre situation, le statut sans le comportement et le comportement sans le statut, induisent donc un coût, soit pour l’entreprise (or c’est elle qui est productrice du statut), soit pour l’individu (producteur de son comportement), donc indirectement pour l’entreprise. Dynamique auto-destructrice, puisque dans les deux cas, c’est sur la source même du pouvoir que l’on tire, en laissant pérenniser ou, pire, coexister des situations « monopotentes ».
Pour limiter au maximum le risque pour l’organisation, on voit donc qu’il « suffit » de conférer le statut à qui a le comportement … ou le comportement à qui a le statut ? Tout l’art du management que de trouver et maintenir ce subtil dosage des énergies !
Le statut sans le comportement a ses limites : celle propres à la non-coopération (coût induit pour l’entreprise), voire l’impact porté par le pouvoir de comportement (surcoût pour le pouvoir de statut de sa « sous-efficacité » relative, comparée).
Autrement dit, comme l’explique Bertrand Duperrin et pour reprendre ses termes, « l’abus de chefitude » a un prix réel pour l’entreprise, et est loin d’être, dans l’absolu, si productif qu’on l’entend parfois. Et il l’est encore moins s’il est mis en balance par la coexistence d’un « chef officieux ».
Le comportement sans le statut a aussi les siennes : celles intrinsèques de la résistance humaine (coût individuel de la coopération), et les frontières d’influence du pouvoir de statut (surcoût pour le pouvoir de comportement de sa « non légitimité ».).
En clair, payer de sa personne pour coopérer, ça produit, mais ça consomme de l’énergie (temps, implication, écoute, partage, etc). Et d’autant plus que c’est circonscrit : un « chef officieu\ » ne fera de miracles que limités, puisqu’il ne dispose pas (ou peu) de cette faculté nécessaire de « dernier ressort », ce fameux moment où il est optimal de s’appuyer sur la légitimité acquise d’animateur pour enfiler la casquette de décideur. L’absence de statut rend l’investissement comportement moins rentable.
L’une ou l’autre situation, le statut sans le comportement et le comportement sans le statut, induisent donc un coût, soit pour l’entreprise (or c’est elle qui est productrice du statut), soit pour l’individu (producteur de son comportement), donc indirectement pour l’entreprise. Dynamique auto-destructrice, puisque dans les deux cas, c’est sur la source même du pouvoir que l’on tire, en laissant pérenniser ou, pire, coexister des situations « monopotentes ».
Pour limiter au maximum le risque pour l’organisation, on voit donc qu’il « suffit » de conférer le statut à qui a le comportement … ou le comportement à qui a le statut ? Tout l’art du management que de trouver et maintenir ce subtil dosage des énergies !
Le statut sans le comportement a ses limites : celle propres à la non-coopération (coût induit pour l’entreprise), voire l’impact porté par le pouvoir de comportement (surcoût pour le pouvoir de statut de sa « sous-efficacité » relative, comparée).
Autrement dit, comme l’explique Bertrand Duperrin et pour reprendre ses termes, « l’abus de chefitude » a un prix réel pour l’entreprise, et est loin d’être, dans l’absolu, si productif qu’on l’entend parfois. Et il l’est encore moins s’il est mis en balance par la coexistence d’un « chef officieux ».
Le comportement sans le statut a aussi les siennes : celles intrinsèques de la résistance humaine (coût individuel de la coopération), et les frontières d’influence du pouvoir de statut (surcoût pour le pouvoir de comportement de sa « non légitimité ».).
En clair, payer de sa personne pour coopérer, ça produit, mais ça consomme de l’énergie (temps, implication, écoute, partage, etc). Et d’autant plus que c’est circonscrit : un « chef officieu\ » ne fera de miracles que limités, puisqu’il ne dispose pas (ou peu) de cette faculté nécessaire de « dernier ressort », ce fameux moment où il est optimal de s’appuyer sur la légitimité acquise d’animateur pour enfiler la casquette de décideur. L’absence de statut rend l’investissement comportement moins rentable.
L’une ou l’autre situation, le statut sans le comportement et le comportement sans le statut, induisent donc un coût, soit pour l’entreprise (or c’est elle qui est productrice du statut), soit pour l’individu (producteur de son comportement), donc indirectement pour l’entreprise. Dynamique auto-destructrice, puisque dans les deux cas, c’est sur la source même du pouvoir que l’on tire, en laissant pérenniser ou, pire, coexister des situations « monopotentes ».
Pour limiter au maximum le risque pour l’organisation, on voit donc qu’il « suffit » de conférer le statut à qui a le comportement … ou le comportement à qui a le statut ? Tout l’art du management que de trouver et maintenir ce subtil dosage des énergies !
Le statut sans le comportement a ses limites : celle propres à la non-coopération (coût induit pour l’entreprise), voire l’impact porté par le pouvoir de comportement (surcoût pour le pouvoir de statut de sa « sous-efficacité » relative, comparée).
Autrement dit, comme l’explique Bertrand Duperrin et pour reprendre ses termes, « l’abus de chefitude » a un prix réel pour l’entreprise, et est loin d’être, dans l’absolu, si productif qu’on l’entend parfois. Et il l’est encore moins s’il est mis en balance par la coexistence d’un « chef officieux ».
Le comportement sans le statut a aussi les siennes : celles intrinsèques de la résistance humaine (coût individuel de la coopération), et les frontières d’influence du pouvoir de statut (surcoût pour le pouvoir de comportement de sa « non légitimité ».).
En clair, payer de sa personne pour coopérer, ça produit, mais ça consomme de l’énergie (temps, implication, écoute, partage, etc). Et d’autant plus que c’est circonscrit : un « chef officieu\ » ne fera de miracles que limités, puisqu’il ne dispose pas (ou peu) de cette faculté nécessaire de « dernier ressort », ce fameux moment où il est optimal de s’appuyer sur la légitimité acquise d’animateur pour enfiler la casquette de décideur. L’absence de statut rend l’investissement comportement moins rentable.
L’une ou l’autre situation, le statut sans le comportement et le comportement sans le statut, induisent donc un coût, soit pour l’entreprise (or c’est elle qui est productrice du statut), soit pour l’individu (producteur de son comportement), donc indirectement pour l’entreprise. Dynamique auto-destructrice, puisque dans les deux cas, c’est sur la source même du pouvoir que l’on tire, en laissant pérenniser ou, pire, coexister des situations « monopotentes ».
Pour limiter au maximum le risque pour l’organisation, on voit donc qu’il « suffit » de conférer le statut à qui a le comportement … ou le comportement à qui a le statut ? Tout l’art du management que de trouver et maintenir ce subtil dosage des énergies !
Le statut sans le comportement a ses limites : celle propres à la non-coopération (coût induit pour l’entreprise), voire l’impact porté par le pouvoir de comportement (surcoût pour le pouvoir de statut de sa « sous-efficacité » relative, comparée).
Autrement dit, comme l’explique Bertrand Duperrin et pour reprendre ses termes, « l’abus de chefitude » a un prix réel pour l’entreprise, et est loin d’être, dans l’absolu, si productif qu’on l’entend parfois. Et il l’est encore moins s’il est mis en balance par la coexistence d’un « chef officieux ».
Le comportement sans le statut a aussi les siennes : celles intrinsèques de la résistance humaine (coût individuel de la coopération), et les frontières d’influence du pouvoir de statut (surcoût pour le pouvoir de comportement de sa « non légitimité ».).
En clair, payer de sa personne pour coopérer, ça produit, mais ça consomme de l’énergie (temps, implication, écoute, partage, etc). Et d’autant plus que c’est circonscrit : un « chef officieu\ » ne fera de miracles que limités, puisqu’il ne dispose pas (ou peu) de cette faculté nécessaire de « dernier ressort », ce fameux moment où il est optimal de s’appuyer sur la légitimité acquise d’animateur pour enfiler la casquette de décideur. L’absence de statut rend l’investissement comportement moins rentable.
L’une ou l’autre situation, le statut sans le comportement et le comportement sans le statut, induisent donc un coût, soit pour l’entreprise (or c’est elle qui est productrice du statut), soit pour l’individu (producteur de son comportement), donc indirectement pour l’entreprise. Dynamique auto-destructrice, puisque dans les deux cas, c’est sur la source même du pouvoir que l’on tire, en laissant pérenniser ou, pire, coexister des situations « monopotentes ».
Pour limiter au maximum le risque pour l’organisation, on voit donc qu’il « suffit » de conférer le statut à qui a le comportement … ou le comportement à qui a le statut ? Tout l’art du management que de trouver et maintenir ce subtil dosage des énergies !
Le statut sans le comportement a ses limites : celle propres à la non-coopération (coût induit pour l’entreprise), voire l’impact porté par le pouvoir de comportement (surcoût pour le pouvoir de statut de sa « sous-efficacité » relative, comparée).
Autrement dit, comme l’explique Bertrand Duperrin et pour reprendre ses termes, « l’abus de chefitude » a un prix réel pour l’entreprise, et est loin d’être, dans l’absolu, si productif qu’on l’entend parfois. Et il l’est encore moins s’il est mis en balance par la coexistence d’un « chef officieux ».
Le comportement sans le statut a aussi les siennes : celles intrinsèques de la résistance humaine (coût individuel de la coopération), et les frontières d’influence du pouvoir de statut (surcoût pour le pouvoir de comportement de sa « non légitimité ».).
En clair, payer de sa personne pour coopérer, ça produit, mais ça consomme de l’énergie (temps, implication, écoute, partage, etc). Et d’autant plus que c’est circonscrit : un « chef officieu\ » ne fera de miracles que limités, puisqu’il ne dispose pas (ou peu) de cette faculté nécessaire de « dernier ressort », ce fameux moment où il est optimal de s’appuyer sur la légitimité acquise d’animateur pour enfiler la casquette de décideur. L’absence de statut rend l’investissement comportement moins rentable.
L’une ou l’autre situation, le statut sans le comportement et le comportement sans le statut, induisent donc un coût, soit pour l’entreprise (or c’est elle qui est productrice du statut), soit pour l’individu (producteur de son comportement), donc indirectement pour l’entreprise. Dynamique auto-destructrice, puisque dans les deux cas, c’est sur la source même du pouvoir que l’on tire, en laissant pérenniser ou, pire, coexister des situations « monopotentes ».
Pour limiter au maximum le risque pour l’organisation, on voit donc qu’il « suffit » de conférer le statut à qui a le comportement … ou le comportement à qui a le statut ? Tout l’art du management que de trouver et maintenir ce subtil dosage des énergies !
Le statut sans le comportement a ses limites : celle propres à la non-coopération (coût induit pour l’entreprise), voire l’impact porté par le pouvoir de comportement (surcoût pour le pouvoir de statut de sa « sous-efficacité » relative, comparée).
Autrement dit, comme l’explique Bertrand Duperrin et pour reprendre ses termes, « l’abus de chefitude » a un prix réel pour l’entreprise, et est loin d’être, dans l’absolu, si productif qu’on l’entend parfois. Et il l’est encore moins s’il est mis en balance par la coexistence d’un « chef officieux ».
Le comportement sans le statut a aussi les siennes : celles intrinsèques de la résistance humaine (coût individuel de la coopération), et les frontières d’influence du pouvoir de statut (surcoût pour le pouvoir de comportement de sa « non légitimité ».).
En clair, payer de sa personne pour coopérer, ça produit, mais ça consomme de l’énergie (temps, implication, écoute, partage, etc). Et d’autant plus que c’est circonscrit : un « chef officieu\ » ne fera de miracles que limités, puisqu’il ne dispose pas (ou peu) de cette faculté nécessaire de « dernier ressort », ce fameux moment où il est optimal de s’appuyer sur la légitimité acquise d’animateur pour enfiler la casquette de décideur. L’absence de statut rend l’investissement comportement moins rentable.
L’une ou l’autre situation, le statut sans le comportement et le comportement sans le statut, induisent donc un coût, soit pour l’entreprise (or c’est elle qui est productrice du statut), soit pour l’individu (producteur de son comportement), donc indirectement pour l’entreprise. Dynamique auto-destructrice, puisque dans les deux cas, c’est sur la source même du pouvoir que l’on tire, en laissant pérenniser ou, pire, coexister des situations « monopotentes ».
Pour limiter au maximum le risque pour l’organisation, on voit donc qu’il « suffit » de conférer le statut à qui a le comportement … ou le comportement à qui a le statut ? Tout l’art du management que de trouver et maintenir ce subtil dosage des énergies !
Le statut sans le comportement a ses limites : celle propres à la non-coopération (coût induit pour l’entreprise), voire l’impact porté par le pouvoir de comportement (surcoût pour le pouvoir de statut de sa « sous-efficacité » relative, comparée).
Autrement dit, comme l’explique Bertrand Duperrin et pour reprendre ses termes, « l’abus de chefitude » a un prix réel pour l’entreprise, et est loin d’être, dans l’absolu, si productif qu’on l’entend parfois. Et il l’est encore moins s’il est mis en balance par la coexistence d’un « chef officieux ».
Le comportement sans le statut a aussi les siennes : celles intrinsèques de la résistance humaine (coût individuel de la coopération), et les frontières d’influence du pouvoir de statut (surcoût pour le pouvoir de comportement de sa « non légitimité ».).
En clair, payer de sa personne pour coopérer, ça produit, mais ça consomme de l’énergie (temps, implication, écoute, partage, etc). Et d’autant plus que c’est circonscrit : un « chef officieu\ » ne fera de miracles que limités, puisqu’il ne dispose pas (ou peu) de cette faculté nécessaire de « dernier ressort », ce fameux moment où il est optimal de s’appuyer sur la légitimité acquise d’animateur pour enfiler la casquette de décideur. L’absence de statut rend l’investissement comportement moins rentable.
L’une ou l’autre situation, le statut sans le comportement et le comportement sans le statut, induisent donc un coût, soit pour l’entreprise (or c’est elle qui est productrice du statut), soit pour l’individu (producteur de son comportement), donc indirectement pour l’entreprise. Dynamique auto-destructrice, puisque dans les deux cas, c’est sur la source même du pouvoir que l’on tire, en laissant pérenniser ou, pire, coexister des situations « monopotentes ».
Pour limiter au maximum le risque pour l’organisation, on voit donc qu’il « suffit » de conférer le statut à qui a le comportement … ou le comportement à qui a le statut ? Tout l’art du management que de trouver et maintenir ce subtil dosage des énergies !
Autrement dit, comme l’explique Bertrand Duperrin et pour reprendre ses termes, « l’abus de chefitude » a un prix réel pour l’entreprise, et est loin d’être, dans l’absolu, si productif qu’on l’entend parfois. Et il l’est encore moins s’il est mis en balance par la coexistence d’un « chef officieux ».
Le comportement sans le statut a aussi les siennes : celles intrinsèques de la résistance humaine (coût individuel de la coopération), et les frontières d’influence du pouvoir de statut (surcoût pour le pouvoir de comportement de sa « non légitimité ».).
En clair, payer de sa personne pour coopérer, ça produit, mais ça consomme de l’énergie (temps, implication, écoute, partage, etc). Et d’autant plus que c’est circonscrit : un « chef officieu\ » ne fera de miracles que limités, puisqu’il ne dispose pas (ou peu) de cette faculté nécessaire de « dernier ressort », ce fameux moment où il est optimal de s’appuyer sur la légitimité acquise d’animateur pour enfiler la casquette de décideur. L’absence de statut rend l’investissement comportement moins rentable.
L’une ou l’autre situation, le statut sans le comportement et le comportement sans le statut, induisent donc un coût, soit pour l’entreprise (or c’est elle qui est productrice du statut), soit pour l’individu (producteur de son comportement), donc indirectement pour l’entreprise. Dynamique auto-destructrice, puisque dans les deux cas, c’est sur la source même du pouvoir que l’on tire, en laissant pérenniser ou, pire, coexister des situations « monopotentes ».
Pour limiter au maximum le risque pour l’organisation, on voit donc qu’il « suffit » de conférer le statut à qui a le comportement … ou le comportement à qui a le statut ? Tout l’art du management que de trouver et maintenir ce subtil dosage des énergies !
Le statut sans le comportement a ses limites : celle propres à la non-coopération (coût induit pour l’entreprise), voire l’impact porté par le pouvoir de comportement (surcoût pour le pouvoir de statut de sa « sous-efficacité » relative, comparée).
Autrement dit, comme l’explique Bertrand Duperrin et pour reprendre ses termes, « l’abus de chefitude » a un prix réel pour l’entreprise, et est loin d’être, dans l’absolu, si productif qu’on l’entend parfois. Et il l’est encore moins s’il est mis en balance par la coexistence d’un « chef officieux ».
Le comportement sans le statut a aussi les siennes : celles intrinsèques de la résistance humaine (coût individuel de la coopération), et les frontières d’influence du pouvoir de statut (surcoût pour le pouvoir de comportement de sa « non légitimité ».).
En clair, payer de sa personne pour coopérer, ça produit, mais ça consomme de l’énergie (temps, implication, écoute, partage, etc). Et d’autant plus que c’est circonscrit : un « chef officieu\ » ne fera de miracles que limités, puisqu’il ne dispose pas (ou peu) de cette faculté nécessaire de « dernier ressort », ce fameux moment où il est optimal de s’appuyer sur la légitimité acquise d’animateur pour enfiler la casquette de décideur. L’absence de statut rend l’investissement comportement moins rentable.
L’une ou l’autre situation, le statut sans le comportement et le comportement sans le statut, induisent donc un coût, soit pour l’entreprise (or c’est elle qui est productrice du statut), soit pour l’individu (producteur de son comportement), donc indirectement pour l’entreprise. Dynamique auto-destructrice, puisque dans les deux cas, c’est sur la source même du pouvoir que l’on tire, en laissant pérenniser ou, pire, coexister des situations « monopotentes ».
Pour limiter au maximum le risque pour l’organisation, on voit donc qu’il « suffit » de conférer le statut à qui a le comportement … ou le comportement à qui a le statut ? Tout l’art du management que de trouver et maintenir ce subtil dosage des énergies !
Le statut sans le comportement a ses limites : celle propres à la non-coopération (coût induit pour l’entreprise), voire l’impact porté par le pouvoir de comportement (surcoût pour le pouvoir de statut de sa « sous-efficacité » relative, comparée).
Autrement dit, comme l’explique Bertrand Duperrin et pour reprendre ses termes, « l’abus de chefitude » a un prix réel pour l’entreprise, et est loin d’être, dans l’absolu, si productif qu’on l’entend parfois. Et il l’est encore moins s’il est mis en balance par la coexistence d’un « chef officieux ».
Le comportement sans le statut a aussi les siennes : celles intrinsèques de la résistance humaine (coût individuel de la coopération), et les frontières d’influence du pouvoir de statut (surcoût pour le pouvoir de comportement de sa « non légitimité ».).
En clair, payer de sa personne pour coopérer, ça produit, mais ça consomme de l’énergie (temps, implication, écoute, partage, etc). Et d’autant plus que c’est circonscrit : un « chef officieu\ » ne fera de miracles que limités, puisqu’il ne dispose pas (ou peu) de cette faculté nécessaire de « dernier ressort », ce fameux moment où il est optimal de s’appuyer sur la légitimité acquise d’animateur pour enfiler la casquette de décideur. L’absence de statut rend l’investissement comportement moins rentable.
L’une ou l’autre situation, le statut sans le comportement et le comportement sans le statut, induisent donc un coût, soit pour l’entreprise (or c’est elle qui est productrice du statut), soit pour l’individu (producteur de son comportement), donc indirectement pour l’entreprise. Dynamique auto-destructrice, puisque dans les deux cas, c’est sur la source même du pouvoir que l’on tire, en laissant pérenniser ou, pire, coexister des situations « monopotentes ».
Pour limiter au maximum le risque pour l’organisation, on voit donc qu’il « suffit » de conférer le statut à qui a le comportement … ou le comportement à qui a le statut ? Tout l’art du management que de trouver et maintenir ce subtil dosage des énergies !
Le statut sans le comportement a ses limites : celle propres à la non-coopération (coût induit pour l’entreprise), voire l’impact porté par le pouvoir de comportement (surcoût pour le pouvoir de statut de sa « sous-efficacité » relative, comparée).
Autrement dit, comme l’explique Bertrand Duperrin et pour reprendre ses termes, « l’abus de chefitude » a un prix réel pour l’entreprise, et est loin d’être, dans l’absolu, si productif qu’on l’entend parfois. Et il l’est encore moins s’il est mis en balance par la coexistence d’un « chef officieux ».
Le comportement sans le statut a aussi les siennes : celles intrinsèques de la résistance humaine (coût individuel de la coopération), et les frontières d’influence du pouvoir de statut (surcoût pour le pouvoir de comportement de sa « non légitimité ».).
En clair, payer de sa personne pour coopérer, ça produit, mais ça consomme de l’énergie (temps, implication, écoute, partage, etc). Et d’autant plus que c’est circonscrit : un « chef officieu\ » ne fera de miracles que limités, puisqu’il ne dispose pas (ou peu) de cette faculté nécessaire de « dernier ressort », ce fameux moment où il est optimal de s’appuyer sur la légitimité acquise d’animateur pour enfiler la casquette de décideur. L’absence de statut rend l’investissement comportement moins rentable.
L’une ou l’autre situation, le statut sans le comportement et le comportement sans le statut, induisent donc un coût, soit pour l’entreprise (or c’est elle qui est productrice du statut), soit pour l’individu (producteur de son comportement), donc indirectement pour l’entreprise. Dynamique auto-destructrice, puisque dans les deux cas, c’est sur la source même du pouvoir que l’on tire, en laissant pérenniser ou, pire, coexister des situations « monopotentes ».
Pour limiter au maximum le risque pour l’organisation, on voit donc qu’il « suffit » de conférer le statut à qui a le comportement … ou le comportement à qui a le statut ? Tout l’art du management que de trouver et maintenir ce subtil dosage des énergies !
Le statut sans le comportement a ses limites : celle propres à la non-coopération (coût induit pour l’entreprise), voire l’impact porté par le pouvoir de comportement (surcoût pour le pouvoir de statut de sa « sous-efficacité » relative, comparée).
Autrement dit, comme l’explique Bertrand Duperrin et pour reprendre ses termes, « l’abus de chefitude » a un prix réel pour l’entreprise, et est loin d’être, dans l’absolu, si productif qu’on l’entend parfois. Et il l’est encore moins s’il est mis en balance par la coexistence d’un « chef officieux ».
Le comportement sans le statut a aussi les siennes : celles intrinsèques de la résistance humaine (coût individuel de la coopération), et les frontières d’influence du pouvoir de statut (surcoût pour le pouvoir de comportement de sa « non légitimité ».).
En clair, payer de sa personne pour coopérer, ça produit, mais ça consomme de l’énergie (temps, implication, écoute, partage, etc). Et d’autant plus que c’est circonscrit : un « chef officieu\ » ne fera de miracles que limités, puisqu’il ne dispose pas (ou peu) de cette faculté nécessaire de « dernier ressort », ce fameux moment où il est optimal de s’appuyer sur la légitimité acquise d’animateur pour enfiler la casquette de décideur. L’absence de statut rend l’investissement comportement moins rentable.
L’une ou l’autre situation, le statut sans le comportement et le comportement sans le statut, induisent donc un coût, soit pour l’entreprise (or c’est elle qui est productrice du statut), soit pour l’individu (producteur de son comportement), donc indirectement pour l’entreprise. Dynamique auto-destructrice, puisque dans les deux cas, c’est sur la source même du pouvoir que l’on tire, en laissant pérenniser ou, pire, coexister des situations « monopotentes ».
Pour limiter au maximum le risque pour l’organisation, on voit donc qu’il « suffit » de conférer le statut à qui a le comportement … ou le comportement à qui a le statut ? Tout l’art du management que de trouver et maintenir ce subtil dosage des énergies !
Le statut sans le comportement a ses limites : celle propres à la non-coopération (coût induit pour l’entreprise), voire l’impact porté par le pouvoir de comportement (surcoût pour le pouvoir de statut de sa « sous-efficacité » relative, comparée).
Autrement dit, comme l’explique Bertrand Duperrin et pour reprendre ses termes, « l’abus de chefitude » a un prix réel pour l’entreprise, et est loin d’être, dans l’absolu, si productif qu’on l’entend parfois. Et il l’est encore moins s’il est mis en balance par la coexistence d’un « chef officieux ».
Le comportement sans le statut a aussi les siennes : celles intrinsèques de la résistance humaine (coût individuel de la coopération), et les frontières d’influence du pouvoir de statut (surcoût pour le pouvoir de comportement de sa « non légitimité ».).
En clair, payer de sa personne pour coopérer, ça produit, mais ça consomme de l’énergie (temps, implication, écoute, partage, etc). Et d’autant plus que c’est circonscrit : un « chef officieu\ » ne fera de miracles que limités, puisqu’il ne dispose pas (ou peu) de cette faculté nécessaire de « dernier ressort », ce fameux moment où il est optimal de s’appuyer sur la légitimité acquise d’animateur pour enfiler la casquette de décideur. L’absence de statut rend l’investissement comportement moins rentable.
L’une ou l’autre situation, le statut sans le comportement et le comportement sans le statut, induisent donc un coût, soit pour l’entreprise (or c’est elle qui est productrice du statut), soit pour l’individu (producteur de son comportement), donc indirectement pour l’entreprise. Dynamique auto-destructrice, puisque dans les deux cas, c’est sur la source même du pouvoir que l’on tire, en laissant pérenniser ou, pire, coexister des situations « monopotentes ».
Pour limiter au maximum le risque pour l’organisation, on voit donc qu’il « suffit » de conférer le statut à qui a le comportement … ou le comportement à qui a le statut ? Tout l’art du management que de trouver et maintenir ce subtil dosage des énergies !
Le statut sans le comportement a ses limites : celle propres à la non-coopération (coût induit pour l’entreprise), voire l’impact porté par le pouvoir de comportement (surcoût pour le pouvoir de statut de sa « sous-efficacité » relative, comparée).
Autrement dit, comme l’explique Bertrand Duperrin et pour reprendre ses termes, « l’abus de chefitude » a un prix réel pour l’entreprise, et est loin d’être, dans l’absolu, si productif qu’on l’entend parfois. Et il l’est encore moins s’il est mis en balance par la coexistence d’un « chef officieux ».
Le comportement sans le statut a aussi les siennes : celles intrinsèques de la résistance humaine (coût individuel de la coopération), et les frontières d’influence du pouvoir de statut (surcoût pour le pouvoir de comportement de sa « non légitimité ».).
En clair, payer de sa personne pour coopérer, ça produit, mais ça consomme de l’énergie (temps, implication, écoute, partage, etc). Et d’autant plus que c’est circonscrit : un « chef officieu\ » ne fera de miracles que limités, puisqu’il ne dispose pas (ou peu) de cette faculté nécessaire de « dernier ressort », ce fameux moment où il est optimal de s’appuyer sur la légitimité acquise d’animateur pour enfiler la casquette de décideur. L’absence de statut rend l’investissement comportement moins rentable.
L’une ou l’autre situation, le statut sans le comportement et le comportement sans le statut, induisent donc un coût, soit pour l’entreprise (or c’est elle qui est productrice du statut), soit pour l’individu (producteur de son comportement), donc indirectement pour l’entreprise. Dynamique auto-destructrice, puisque dans les deux cas, c’est sur la source même du pouvoir que l’on tire, en laissant pérenniser ou, pire, coexister des situations « monopotentes ».
Pour limiter au maximum le risque pour l’organisation, on voit donc qu’il « suffit » de conférer le statut à qui a le comportement … ou le comportement à qui a le statut ? Tout l’art du management que de trouver et maintenir ce subtil dosage des énergies !
Le statut sans le comportement a ses limites : celle propres à la non-coopération (coût induit pour l’entreprise), voire l’impact porté par le pouvoir de comportement (surcoût pour le pouvoir de statut de sa « sous-efficacité » relative, comparée).
Autrement dit, comme l’explique Bertrand Duperrin et pour reprendre ses termes, « l’abus de chefitude » a un prix réel pour l’entreprise, et est loin d’être, dans l’absolu, si productif qu’on l’entend parfois. Et il l’est encore moins s’il est mis en balance par la coexistence d’un « chef officieux ».
Le comportement sans le statut a aussi les siennes : celles intrinsèques de la résistance humaine (coût individuel de la coopération), et les frontières d’influence du pouvoir de statut (surcoût pour le pouvoir de comportement de sa « non légitimité ».).
En clair, payer de sa personne pour coopérer, ça produit, mais ça consomme de l’énergie (temps, implication, écoute, partage, etc). Et d’autant plus que c’est circonscrit : un « chef officieu\ » ne fera de miracles que limités, puisqu’il ne dispose pas (ou peu) de cette faculté nécessaire de « dernier ressort », ce fameux moment où il est optimal de s’appuyer sur la légitimité acquise d’animateur pour enfiler la casquette de décideur. L’absence de statut rend l’investissement comportement moins rentable.
L’une ou l’autre situation, le statut sans le comportement et le comportement sans le statut, induisent donc un coût, soit pour l’entreprise (or c’est elle qui est productrice du statut), soit pour l’individu (producteur de son comportement), donc indirectement pour l’entreprise. Dynamique auto-destructrice, puisque dans les deux cas, c’est sur la source même du pouvoir que l’on tire, en laissant pérenniser ou, pire, coexister des situations « monopotentes ».
Pour limiter au maximum le risque pour l’organisation, on voit donc qu’il « suffit » de conférer le statut à qui a le comportement … ou le comportement à qui a le statut ? Tout l’art du management que de trouver et maintenir ce subtil dosage des énergies !
Le statut sans le comportement a ses limites : celle propres à la non-coopération (coût induit pour l’entreprise), voire l’impact porté par le pouvoir de comportement (surcoût pour le pouvoir de statut de sa « sous-efficacité » relative, comparée).
Autrement dit, comme l’explique Bertrand Duperrin et pour reprendre ses termes, « l’abus de chefitude » a un prix réel pour l’entreprise, et est loin d’être, dans l’absolu, si productif qu’on l’entend parfois. Et il l’est encore moins s’il est mis en balance par la coexistence d’un « chef officieux ».
Le comportement sans le statut a aussi les siennes : celles intrinsèques de la résistance humaine (coût individuel de la coopération), et les frontières d’influence du pouvoir de statut (surcoût pour le pouvoir de comportement de sa « non légitimité ».).
En clair, payer de sa personne pour coopérer, ça produit, mais ça consomme de l’énergie (temps, implication, écoute, partage, etc). Et d’autant plus que c’est circonscrit : un « chef officieu\ » ne fera de miracles que limités, puisqu’il ne dispose pas (ou peu) de cette faculté nécessaire de « dernier ressort », ce fameux moment où il est optimal de s’appuyer sur la légitimité acquise d’animateur pour enfiler la casquette de décideur. L’absence de statut rend l’investissement comportement moins rentable.
L’une ou l’autre situation, le statut sans le comportement et le comportement sans le statut, induisent donc un coût, soit pour l’entreprise (or c’est elle qui est productrice du statut), soit pour l’individu (producteur de son comportement), donc indirectement pour l’entreprise. Dynamique auto-destructrice, puisque dans les deux cas, c’est sur la source même du pouvoir que l’on tire, en laissant pérenniser ou, pire, coexister des situations « monopotentes ».
Pour limiter au maximum le risque pour l’organisation, on voit donc qu’il « suffit » de conférer le statut à qui a le comportement … ou le comportement à qui a le statut ? Tout l’art du management que de trouver et maintenir ce subtil dosage des énergies !
Le statut sans le comportement a ses limites : celle propres à la non-coopération (coût induit pour l’entreprise), voire l’impact porté par le pouvoir de comportement (surcoût pour le pouvoir de statut de sa « sous-efficacité » relative, comparée).
Autrement dit, comme l’explique Bertrand Duperrin et pour reprendre ses termes, « l’abus de chefitude » a un prix réel pour l’entreprise, et est loin d’être, dans l’absolu, si productif qu’on l’entend parfois. Et il l’est encore moins s’il est mis en balance par la coexistence d’un « chef officieux ».
Le comportement sans le statut a aussi les siennes : celles intrinsèques de la résistance humaine (coût individuel de la coopération), et les frontières d’influence du pouvoir de statut (surcoût pour le pouvoir de comportement de sa « non légitimité ».).
En clair, payer de sa personne pour coopérer, ça produit, mais ça consomme de l’énergie (temps, implication, écoute, partage, etc). Et d’autant plus que c’est circonscrit : un « chef officieu\ » ne fera de miracles que limités, puisqu’il ne dispose pas (ou peu) de cette faculté nécessaire de « dernier ressort », ce fameux moment où il est optimal de s’appuyer sur la légitimité acquise d’animateur pour enfiler la casquette de décideur. L’absence de statut rend l’investissement comportement moins rentable.
L’une ou l’autre situation, le statut sans le comportement et le comportement sans le statut, induisent donc un coût, soit pour l’entreprise (or c’est elle qui est productrice du statut), soit pour l’individu (producteur de son comportement), donc indirectement pour l’entreprise. Dynamique auto-destructrice, puisque dans les deux cas, c’est sur la source même du pouvoir que l’on tire, en laissant pérenniser ou, pire, coexister des situations « monopotentes ».
Pour limiter au maximum le risque pour l’organisation, on voit donc qu’il « suffit » de conférer le statut à qui a le comportement … ou le comportement à qui a le statut ? Tout l’art du management que de trouver et maintenir ce subtil dosage des énergies !
Autrement dit, comme l’explique Bertrand Duperrin et pour reprendre ses termes, « l’abus de chefitude » a un prix réel pour l’entreprise, et est loin d’être, dans l’absolu, si productif qu’on l’entend parfois. Et il l’est encore moins s’il est mis en balance par la coexistence d’un « chef officieux ».
Le comportement sans le statut a aussi les siennes : celles intrinsèques de la résistance humaine (coût individuel de la coopération), et les frontières d’influence du pouvoir de statut (surcoût pour le pouvoir de comportement de sa « non légitimité ».).
En clair, payer de sa personne pour coopérer, ça produit, mais ça consomme de l’énergie (temps, implication, écoute, partage, etc). Et d’autant plus que c’est circonscrit : un « chef officieu\ » ne fera de miracles que limités, puisqu’il ne dispose pas (ou peu) de cette faculté nécessaire de « dernier ressort », ce fameux moment où il est optimal de s’appuyer sur la légitimité acquise d’animateur pour enfiler la casquette de décideur. L’absence de statut rend l’investissement comportement moins rentable.
L’une ou l’autre situation, le statut sans le comportement et le comportement sans le statut, induisent donc un coût, soit pour l’entreprise (or c’est elle qui est productrice du statut), soit pour l’individu (producteur de son comportement), donc indirectement pour l’entreprise. Dynamique auto-destructrice, puisque dans les deux cas, c’est sur la source même du pouvoir que l’on tire, en laissant pérenniser ou, pire, coexister des situations « monopotentes ».
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Le statut sans le comportement a ses limites : celle propres à la non-coopération (coût induit pour l’entreprise), voire l’impact porté par le pouvoir de comportement (surcoût pour le pouvoir de statut de sa « sous-efficacité » relative, comparée).
Autrement dit, comme l’explique Bertrand Duperrin et pour reprendre ses termes, « l’abus de chefitude » a un prix réel pour l’entreprise, et est loin d’être, dans l’absolu, si productif qu’on l’entend parfois. Et il l’est encore moins s’il est mis en balance par la coexistence d’un « chef officieux ».
Le comportement sans le statut a aussi les siennes : celles intrinsèques de la résistance humaine (coût individuel de la coopération), et les frontières d’influence du pouvoir de statut (surcoût pour le pouvoir de comportement de sa « non légitimité ».).
En clair, payer de sa personne pour coopérer, ça produit, mais ça consomme de l’énergie (temps, implication, écoute, partage, etc). Et d’autant plus que c’est circonscrit : un « chef officieu\ » ne fera de miracles que limités, puisqu’il ne dispose pas (ou peu) de cette faculté nécessaire de « dernier ressort », ce fameux moment où il est optimal de s’appuyer sur la légitimité acquise d’animateur pour enfiler la casquette de décideur. L’absence de statut rend l’investissement comportement moins rentable.
L’une ou l’autre situation, le statut sans le comportement et le comportement sans le statut, induisent donc un coût, soit pour l’entreprise (or c’est elle qui est productrice du statut), soit pour l’individu (producteur de son comportement), donc indirectement pour l’entreprise. Dynamique auto-destructrice, puisque dans les deux cas, c’est sur la source même du pouvoir que l’on tire, en laissant pérenniser ou, pire, coexister des situations « monopotentes ».
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Le statut sans le comportement a ses limites : celle propres à la non-coopération (coût induit pour l’entreprise), voire l’impact porté par le pouvoir de comportement (surcoût pour le pouvoir de statut de sa « sous-efficacité » relative, comparée).
Autrement dit, comme l’explique Bertrand Duperrin et pour reprendre ses termes, « l’abus de chefitude » a un prix réel pour l’entreprise, et est loin d’être, dans l’absolu, si productif qu’on l’entend parfois. Et il l’est encore moins s’il est mis en balance par la coexistence d’un « chef officieux ».
Le comportement sans le statut a aussi les siennes : celles intrinsèques de la résistance humaine (coût individuel de la coopération), et les frontières d’influence du pouvoir de statut (surcoût pour le pouvoir de comportement de sa « non légitimité ».).
En clair, payer de sa personne pour coopérer, ça produit, mais ça consomme de l’énergie (temps, implication, écoute, partage, etc). Et d’autant plus que c’est circonscrit : un « chef officieu\ » ne fera de miracles que limités, puisqu’il ne dispose pas (ou peu) de cette faculté nécessaire de « dernier ressort », ce fameux moment où il est optimal de s’appuyer sur la légitimité acquise d’animateur pour enfiler la casquette de décideur. L’absence de statut rend l’investissement comportement moins rentable.
L’une ou l’autre situation, le statut sans le comportement et le comportement sans le statut, induisent donc un coût, soit pour l’entreprise (or c’est elle qui est productrice du statut), soit pour l’individu (producteur de son comportement), donc indirectement pour l’entreprise. Dynamique auto-destructrice, puisque dans les deux cas, c’est sur la source même du pouvoir que l’on tire, en laissant pérenniser ou, pire, coexister des situations « monopotentes ».
Pour limiter au maximum le risque pour l’organisation, on voit donc qu’il « suffit » de conférer le statut à qui a le comportement … ou le comportement à qui a le statut ? Tout l’art du management que de trouver et maintenir ce subtil dosage des énergies !
Le billet de Bertrand Duperrin est ici.
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