Regardant s'étaler désertique la flaque de mes liqueurs
l'ardeur en feu de paille, de tout foin
je songe à plus que je ne conçois
la substance
subsistent comme des remords
les insectes de mon bon tabac
sur la table
je prends le bistouri
dépèce ma rouille
en lâche de longs morceaux
je fais sous moi
quelques hordes de moi-mêmes s'en disputent les restes
il y a du sable et des dents et mon foutre
je gicle ta reine
quel échange !
mets-moi mat
dans le canal d'une encore cigarette je me dame
avant que cendre ne se fasse