En parlant avec Latiwa, en ayant parlé avec d'autres
dès la prise de position de la C.I et de la France suivie
par les Etas - Unis, l'envie de revenir sur le blog et de
parler des questions qui me tenaillent. Latiwa a été un
déclencheur, en me disant vas y, sort de ta cabosse.
Après le 17 décdembre 2010, date de la mise en garde
ou plutôt de l'ultimatum lancé à Laurent Gbagbo par le
Président Français Nicolas Sarkozy, les questions font
le tour du propriétaire sans lui laisser de répis.
Et si ... ?
La Communauté Internationale (CI) a fait très vite et de
manière peux diplômatique pour fermer les portes à
toute négociation. Le Président sortant, le dos au mur.
La Côte d'Ivoire (CI) cadenacée et une population prise
en tenaille entre les deux ex candidats, Présidents, Chefs
de clans, et quoi encore ?
Et si donc, dans ces éléctions impropres, il y avait du
côté de Laurent Gbagbo des circonstances qui font
que oui il a peut être raison et non il n'a pas tout à fait
tord.
- L'armée reste fidèle, pas une défection d'un membre
de l'Eta Major à ce jour.... Sauf inconnu
- 48% de la population (reconnu par la CI) du côté de
l'Ex ¨Président et nouveau Président auto proclamé
- Le Nord ? Aux mains des ex rebelles et surtout de M.
Guillaume Soro, ex Premier Ministre et actuellement
avec M. Alassane Ouattara.
- De recontage des voix, il n'en est question que depuis
l'entre deux fêtes, les confiseurs sont passés par la.
- Ce 4 janvier un article se posant à peux près les mêmes
questions mais accusateur parraît
- Il serait question maintenant de négocier sans condition(s)
de la part de Laurent Gbagbo ?
La Communauté Internationale à dans cette fin d'année
des "Indépendances" joué avec le feu et peut être mis le
le feu aux pouders plutôt que d'orroser la mêche. En tout
cas, les indépendances en prennent un coup. La aussi il
y a encore matière à se poser des questions. Il y aurait le
bon candidat et le mauvais candidat vu de New-York, de
Paris ou d'ailleurs.
Et puis il y en a assez aussi des images toute faites et
préparées pour conditionner l'opinion public des pays du
Nord, loin du terrain et de l'action.
Nous montrer des véhicules de l'ONU avec des journalistes
gillets pare-balles, circuler en pleine ville, dans les rues et
armes aux points. NON STOP. çà ne se passe pas comme
çà ! Quand çà barde, ils sont en stand by. Aux carrefours,
en attente, et ils ne bougent pas. On verra après. Mais si on
est à 6 ou 10 000 km de ces réalités la, on ne peut pas le
savoir. Et on est ému. C'est le but. Emouvoir. Appeler les
gens à ne plus raisonner qu'avec l'émotif.
Que les choses ne se soient pas passées dans la clarté,
çà au moins c'est limpide. Mais bien malin, celui qui peut
dire à ce jour, c'est un ou l'autre qui est le gagnant de cette
élection. Les perdants, on les connait, la population qui est
plus que jamains divisée et une économie aux abois dans
un des pays qui était il y a moins de 10 ans, un phare pour
les autres pays d'Afrique.
Et si tout n'était pas comme on le dit et que d'autres voies
restent à explorer ?
Et si çà ne sert à rien d'avoir écrit ceci, aux ivoiriens, au
moins des voix se lèvent pour dire. Mais où va t'on ?