Jason Garrett explique sa décision de rester avec les Cowboys

Dallas, TX – Le coordonnateur offensif des Cowboys, Jason Garrett, a annoncé aujourd’hui qu’il préférait demeurer avec son équipe actuelle plutôt que d’accepter le poste d’entraîneur-chef avec les Ravens de Baltimore. Rejoint à son domicile par BIPV, Garrett a précisé que cette décision n’avait pas du tout été prise pour le bien de sa famille mais plutôt « parce que les Ravens sont rien qu’un ramassis d’extraits de sous-mardes mal digérées avec des habits laids ».
Garrett est devenu l’assistant-coach le mieux payé de la NFL en acceptant un contrat qui oscillera entre $3.5M et $4M par année, ce qui lui donnerait un salaire encore meilleur que celui de Wade Phillips, l’actuel entraîneur des Cowboys. Pourtant, de sources sûres nous ont indiqué que l’offre des Ravens aurait pu dépasser ce montant. Pourquoi donc cracher sur un meilleur salaire, un poste plus prestigieux et une occasion en or de remettre sur la carte une équipe qui a coulé dans les bas-fonds de la ligue après plusieurs saisons en dents de montagnes russes?
« Parce qu’ils sont ben trop poches » de dire Garrett. « C’est pas sérieux, c’t’équipe-là. Une osti d’gang de clowns de seconde main. La défensive était le seul côté potable de l’organisation pis ç’a chié complètement cette année. Brian Billick, le supposé génie offensif, a consciemment essayé au fil des saisons de bâtir des attaques autour de QB superstars comme Eric Zeier, Stoney Case, Tony Banks et Anthony Wright. Stoney fucking Case! Pis leur playbook est retardé mental, j’pourrais me baser sur ‘Petzi et la locomotive’ pis développer un meilleur playbook en une demi-heure. »
Garrett a ensuite rappelé, pour se flatter la crédibilité, qu’il avait appris des meilleurs QB quand il était backup des Cowboys à la fin des années 90 : Wade Wilson, Bernie Kosar, Rodney Peete…
Quand on a demandé à Garrett s’il ne voyait pas justement là une occasion de relancer une organisation qui a terrorisé la ligue lors de leur conqûete du Super Bowl en 2000 et qui fait rigoler pas mal tout le monde à l’extérieur de Baltimore en ce moment mais il a répondu qu’il ne voyait pas l’ombre de la lumière au bout du tunnel. « Comment voulez-vous imposer une discipline quand l’équipe est réellement dirigée par un meurtrier? Ray Lewis fait sa loi ici, pas par sa grande sagesse mais parce que c’est un tabarnak de fou. Il se prend pour le linebacker de Dieu, il danse comme un Saint-Guy homo à chaque fois qu’il entre dans le stade et il bûche ses coéquipiers dans face en criant pour les féliciter d’un bon jeu. Avec les blessures et l'âge, il est rendu à peine plus mobile qu'un cèdre mais s’auto-proclame toujours meilleur joueur défensif de la NFL. Il est un peu comme le chaînon manquant entre le carcajou et la vaseline, mais noir. »
La nouvelle situation contractuelle à Dallas ne le préoccupe pas du tout. « Wayne Phillis est un professionnel, j’crois pas qu’il soit gêné par le fait que je gagne plus que lui. Anyway, il doit être super content de pas s’être fait crisser dehors. Jerry Jones aurait très bien pu l’échanger à Dr. Saretsky contre un 10% de rabais pour sa prochaine liposuccion de face. Wayne est aussi utile qu’un Chia Pet sur le bord des lignes. Qu’il me laisse runner la game pis toute va ben aller. Understoune, Mr. Phillis, sir? Who’s your daddy now, beeyatch? »
Aucun joueur de l’équipe n’a voulu donner de commentaires pour l’instant mais on s’attend à ce que T.O. rajoute un peu de beurre épais sur le feu au retour de sa thérapie lacrymogène.