Kafrine : poème Mon fardeaux

Encore un sale matin... je me lève ennervée contre la société.
Une sale journée...une satanée bataille que je ne suis pas prête de gagner.
Et mince!!! je ne suis pas rentrée chez moi et j'ai dormi dehors...

...je ne me Souviens pas de ce que j'ai fait la veille

Tout au plus quelques visions... c'est une horreur!!!
Je tremble... j'ai froid et mes jambe me font mal

j'ai besoin d'une dose mais

J'ai rien sur moi.

Il faut que je rentre pour ne plus y penser et faire cesser ce mal qui me ronge.
J'ai du mal a marcher, les gens ne me regardent pas... mais me devisagent comme si je n'étaisqu'une pariât.

Je m'en tape !!! je je les déteste autant qu'il me haissent, car il ne savent rien...

... De mes souffrances passées,qui mon perdue dans ce monde sans pitié.
Cette vie à la con... je veux la quitter,car je n'ai plus goût en rien... Auto-mutilation!!!!

Arrivée dans ma chambre je me jette directe sur mon lit,le rasoir a portée de mains pour me sentir bien.

Je fume pour oublier les sévices subie par cette homme qui à sali mon corps et mon âme.
Je rentres dans mon univers,dans mon monde qui est si dur et dans lequel j'ai une impression d'évasion.
J'ai choisi, de me tuer à p'tit feu car j'en ai marre d'avoir des larmes pleins les yeux...
C'est ce que j'ai trouvé de mieux... je l'avoue enfant j'croyais en l'amour d'un homme.

Et en l'avenir.

J'étais peut-être un peu trop réveuse,et quand dans ma vie j'ai eu droit à ce viol

J'ai renoncé à me battre et cela m'a entrainée vers le fond brisant tout mes rêves.

Je déteste les hommes à present car il m'ont toujours méprisée,
Jugée,et parfois battue,je suis si triste...

Toujours les mêmes souvenirs qui me hantent, et je hurle pleure en abondance

Mai j'espere me délivrée par cette lame qui pénètrera mon coeur.

Si jeune et si haineuse envers celui qui m'a fait tant de mal,bientot dans sont crane je tirerais une balle...

la vengeance est mon ideal,je lui ferai du mal pour me defaire de mon fardeaux.