Je reprends la suite des questionnements de J.J.MICALEF sur SON refus de la non dilatation de l espace-temps et sur SON hypothèse d’ une constante de HUBBLE H(0) expliquée plutôt par une sorte de fatigue du photon …Je rappelle à mes lecteurs que cette série d articles leur paraîtra peu concrète car parsemée de calculs et qu ils peuvent me lire en diagonale et meme sauter aux conclusions à chaque paragraphe ! J ai promis à mon interrogateur d apporter avec une intégrité totale mes connaissances propres au traitement et à la discussion de son hypothèse ….Ne m en veuillez pas si je respecte cet à- priori : j explore le terrain pour lui , meme si c est pour ne pas être d accord à la fin .. Par le passé,il m’ est d ailleurs arrivé de refuser des publications à mes thésards et si je corrige actuellement un article à proposer à Annalen des Physics pour un autre de mes lecteurs , je tiens à garder totalement ma liberté de pensée ……. Bref voici la suite .
3) : CONTENTONS NOUS ALORS D UN CALCUL AVEC UN GAMMA OBSERVABLE EN REEL POUR COMMENCER………. !
Si λ = 10 puissance -15 mètres alors ט= 3. 10puissance 24 et E = 1,24 .10 puissance 9 eV. mais puisque dans 1 mégaParsec = 3,08 . 10 puissance 22 mètres on trouvera un nombre N de longueur d ondes :N=3,08 . 10 puissance 22/10 puissance -15 =3,08.10 puissance 37 , la constante de HUBBLE réduite pour ce type de gamma sera 73 . 10 puissance 3/3 ,08.10 puissance37=23,7 puissance -37 ….. A partir de là, il faut faire un choix sur l’ hypothèse de mon lecteur ,( à savoir la constante n’ est que la conséquence d une perte d une partie de son énergie dans son parcours mais par quel moyen ?)….. Ce FREINAGE est il banalement proportionnel aux mégaparsecs parcourus ou résulte t il de l’énergie restante du photon à tout instant , comme je l ai fait remarquer la dernière fois ?.... C EST A DIRE DE SA VALEUR RESIDUELLE APRES CHAQUE LONGUEUR D ONDE SUCCESSIVE parcourue ? Dans le premier cas rien ne change …On retrouve la remarque de NOLATS / : « j'entrevois que si l'amortissement dépend de la longueur d'onde, il doit y avoir une distorsion de shift à l'arrivée. Alors que dans la théorie de l'expansion, le shift est constant quelle que soit la longueur d'onde » et la réponse de JEAN JACQUES ne clarifie rien / « La modification du schift devrait se poser de la même façon pour l’expansion puisque la dilatation des longueurs d’onde se traduit par une perte d’énergie. Les raies spectrales qui sont soumises à une « processus » d’expansion de valeur uniforme devrait se répercuter également sur leurs niveaux d’énergie et donc modifier le spectre ETC.»
4) UN DES CALCULS POSSIBLES ???
Puisque il reste possible de mener un calcul explicite avec ce photon hertzien particulier pris dans mon tout premier exemple , à savoir λ=300000000 mètres et ט = 1 hertz , calculons le parcours pour une extinction totale d un tel photon et calculons aussi le temps nécessaire à cette extinction par « freinage total » … C ‘est bien entendu l’équation d un mouvement sinusoïdal amorti .Je signale par ailleurs que j ai déjà exposé une théorie de freinage du photon par l espace temps dit « temporaliste » de SALOMON BORENSZTEJN avec transformation de cette énergie de freinage en particules X mais qui repose sur la loi de NEWTON modifiée MOND ( voir mes archives de mai 2008)
Revenons au cas JJM qui n y fait pas appel ;notons 1 megaparsec = k fois 300000000metres = 3,08 × 10 puissance 22 metres d ou k=1, 01x 10 puissance 14
O n trace ensuite la table algébrique de variations suivantes :
- 1 ère ligne : nombre de segments ( longueurs d onde λ) effectués : 0 , 1 , 2 , etc …..N( par valeurs entières) Dans une première hypothèse on admet que la valeur de la longueur d onde ne change pas tout le long du parcours de l onde ……
- 2 ème ligne : vitesse V du photon au début de chaque longueur d’onde parcourue : c ,c -H/k , c- 2 H/k …etc….c- N. H/k ( avec c=300000 , H= 73) ; c’est la vitesse du photon qui ralentit par chaque segment λ effectué jusqu’ à la valeur V= zero car alors le photon s’est immobilisé( ou a disparu)….
- 3 ème ligne : temps t en seconde correspondant au nombre N effectué :0 , 300000/300000-H/k , 300000/300000-2H/k ……ETC…..300000 /300000- N.H/k : le temps mis par le photon résiduel
pour effectuer ses dernières longueurs d onde devient infiniment grand ……. L e temps total d’extinction T du photon s’ exprime par l’équation T =Σ300000/300000-N .H/k ; N variant depuis zéro jusqu’à l infini
PHOTOS DU GRAPHIQUE DES VARIATIONS N/V/T
Dans une deuxième hypothèse c’est non pas la vitesse du photon qui ralentirait mais sa longueur d onde λ qui augmenterait . La table algébrique des variations se présenterait alors différemment :
1 ère ligne : valeurs des longueurs d onde : λ (0) , λ(1) , λ(2) , etc λ(n ) de plus en plus grandes , selon la loi de PLANCK .Mais là mon ami le physicien bougon sursauterait : »Allonger une longueur d onde EM de 300000 km par seconde ? tu n y penses pas !Tu ne peux pas passer en vitesse supra aluminique puisque tu as choisi déjà un photon limite pour pouvoir définir l energie transportée ! »
« AH TU M AGACES ! je croyais qu il y avait des cas où la vitesse de phase pouvait etre supraluminique ! » (photo des vitesses de phase et vitesse de groupe d une radiation EM ) v(g).v(φ) = c²/n²
"ALORS QU EST CE QU ON FAIT??????"
A SUIVRE