Le parti socialiste qui se veut et s’autoproclame comme le plus grand parti de gauche (ce qui reste à prouver..) tolérera-t-il encore longtemps que ce genre d’individus dont j’ai déjà taillé les oreilles en pointe ici subvertisse son programme et contrevienne si ouvertement aux intérêts des salariés ? (Pourquoi pas la retraite à 70 ans, tant qu’on y est ?). Pour une fois, Jegoun et sa clique n’ont pas tort… Cet homme est non seulement ridicule, mais également semble-t-il profondément acquis aux causes de l’adversaire idéologique, comme nous le démontre également Rimbus, après Slovar, dans son billet d’hier. Pourquoi l’UMP ne l’a-t-il pas enrôlé dans son gouvernement, qui ne représente plus que les intérêts des grands patrons et des financiers, alors qu’il devrait se mêler peut-être un peu plus des intérêts collectifs…
(Post-scriptum : tiens ?! je viens de m’apercevoir que l’ami des pas perdus s’y met aussi ! )
J’ai eu l’idée…
… que je n’écouterais pas les conseils pour blogueurs patentés, continuant toujours, en 2011, à n’en faire qu’à ma tête, conformément à mes mauvaises résolutions, avec pour seule préoccupation de dénoncer ce qui doit l’être, en me foutant pas mal de mon taux de pénétration… médiatique.
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Enfin une bonne nouvelle
14 dirigeants de la société d’investissement Wendel, famille bien connue en Lorraine et pour cause, dont le fameux baron Ernest-Antoine Seillière (prédécesseur de Laurence Parisot au Medef), actuel président du conseil de surveillance de Wendel, sont menacés par le fisc d’un redressement spectaculaire de 240 millions d’euros…
Un retour de boomerang de l’affaire judiciaire déjà mise en lumière par le Monde en décembre ?
Pour le moment, on va attendre la confirmation de Bercy pour sabler le champagne et considérer que ce gouvernement s’attaque enfin aux vrais délinquants… Ce qui serait inédit depuis l’affaire Woerth/Bettencourt, qui suit tranquillement son cours. N’en déplaise aux médisants… comme moi, qui aurais tendance à penser qu’on ne prête qu’aux riches.