Muse II
Comment ne pas aimer la chaleur de ton sein,
L’amour éphémère de la beauté antique ?
Tu nous verses l’ivresse épurée du bon vin
Et ton lait rouge apaise et plaint le fanatique.
Et ta peau étoilée embaume le divin.
Séraphins, archanges et anges te jalousent
Sage ou diablesse, ce doux parfum est saint,
Ici, tous les hommes, bons et mauvais t’épousent.
(David Marino)