Parce que 2012 sera l'année de la louze, profitons bien des 365 prochains jours.
Pour ma part, je me souhaite ce que j'ai déjà, les meilleurs vieux.
Pour vouzot', tertous, reprise d'un accent neutre évacuant les origines, je sors de mon corps, je monte et je descends tel un yoyo en pleine figure d'un sentiment complexe aux confins du plaisir
et de la crainte, du renouveau et de la paisible habitude. Je crie mon silence au gré des incertitudes ancrées cheville au corps et des bonnes âmes salutaires. Je vis béni les changements de
saison mais ma solitude s'ennuie, se découvre des sentiments amoureux, se noie dans le tumulte, effraie mon agoraphobique envie de confort solitaire et me propose d'échanger calme et volupté sur
la carte du fatum. Je hume ce nouveau zef et y trouve jouissance, les cheveux au vent, enfin. Je m'ouvre à vous sans retenue pour vous souhaiter le meilleur des deux mondes, de l'avant et de
l'après. Serviteur.
Une exquise année 2011 s'offre à nous les amis !