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survie

Publié le 01 janvier 2011 par Hoplite

«  (…) 32% des étudiants musulmans britanniques admettent de tuer au nom de l'islam, et 40% veulent appliquer la charia. Selon un sondage effectué dans 30 universités en Grande-Bretagne, le corps étudiant des jeunes musulmans dans ce pays est extrêmement radicalisé. Le sondage a questionné  600 étudiants musulmans et 800 de leurs pairs non-musulmans sur des sujets politiquement délicats comme l'homicide au nom de l'islam et l'établissement de la charia,  et les résultats s'avèrent radicalement différents selon ces deux catégories. Alors que presque personne dans l'échantillon des non-musulmans accepte de tuer au nom de la religion, un tiers de tous les étudiants musulmans sondés a soutenu cette "proposition".

Cette confirmation de l'extrémisme et de la violence mortelle chez les jeunes musulmans de Grande-Bretagne est aussi une indication de l'échec total de la société britannique à la fois à intégrer ainsi qu'à  mieux contrôler ses communautés musulmanes. Le mot «Londonistan» souvent utilisé pour symboliser  l'extrémisme islamique présent dans la capitale,  parait déjà dépassé vu l'ampleur du phénomène qui touche l'ensemble du territoire.
Ce sondage terrifiant a été révélé par Wikileaks, issu d'un câble diplomatique du 6 janvier 2009 émanant de l'ambassade américaine à Londres. D'autres résultats  de l'enquête sont également inquiétants. Par exemple, plus de la moitié de tous les étudiants musulmans britanniques insistent pour être représentés par un parti politique fondé sur l'islam. » Source

Rien que l’on ne sâche déjà, en fait…

«  (…) Joachim Véliocas:  Cela doit être très beau [cette procession catholique à Nice]...Cependant tout ne s'est pas passé  comme prévu,  pouvez-vous nous raconter ?

Louis: Arrivés rue Rossetti, point de rassemblement habituel de nombreux musulmans, nous avons été conspués par des passants et les consommateurs d'un bar. Ces personnes étaient toutes des musulmans. Les cris étaient des "Allah ouakbar" et des youyous. S'y ajoutaient des sifflets des mêmes personnes. L'un a vu mon regard désapprobateur et m'a lancé, à moi qui portais la statue de la Vierge, "qu'est-ce que t'as toi, t'as un problème?". Nous avons chanté plus fort pour couvrir les bruits sacrilèges. Rue Droite s'y sont ajoutés des youyous, sifflets et hurlements divers en provenance des étages, hurlés par des mères de familles musulmanes et leurs enfants. Au retour par le même chemin, nous avons entendu la même chose, en plus fort car ils nous attendaient cette fois. Celui qui m'avait apostrophé s'est alors levé pour aller cracher sur la procession, au niveau des femmes comme il se doit. Un autre s'est approché mais je n'ai pu voir s'il a craché ou non. Il est important de noter qu'il n'y a aucun aspect politique dans cette affaire. Les agresseurs ne font guère de distinction entre catholiques traditionalistes et modernistes. Aucune organisation, quelle qu'elle soit, n'a pu mobiliser car seuls nos fidèles savaient que la procession allait avoir lieu. Nulle affiche n'avait été collée. Notre occupation temporaire de la rue était légale, contrairement aux prières de rues musulmanes hebdomadaires. Les non-musulmans que nous avons croisé pendant la procession ont eu des réaction d'étonnement, prenant des photos de cet évènement qu'ils jugeaient folklorique, ou de satisfaction  de voir de nouveau des processions, c'est tout. Les musulmans, eux, se trouvaient là simplement parce qu'ils habitaient le Vieux Nice ou qu'ils y passaient. Il s'agit d'un échantillon aléatoire de musulmans moyens vivant en France dont une grande partie a spontanément manqué de respect à la religion catholique et aux chrétiens français. » (source)

Une société n'est pas faite d'idée abstraites ni de principes qu'il suffirait d'imposer pour qu'ils se retrouvent appliqués au sein des populations concernées (comme le croit festifus). Le marché ne suffit pas. Les sociétés sont faites d'habitudes, de coutumes, de relations individuelles et collectives entre les êtres qui ont pour origine l'histoire, la culture, l'inconscient collectif et la "psychologie de masse" des peuples en question.
Par conséquent, la démocratie et les libertés individuelles au sens occidental du terme ne sont pas forcément applicables aux populations n'ayant pas notre culture, nos valeurs: égale dignité de tous, justice et partage, non-violence, émancipation de l'individu à l'égard du groupe et de la femme à l'égard de l'homme, liberté de choix, séparation du politique et du religieux, fraternité humaine. Il faut que les peuples partagent ces valeurs (qu'elles viennent du christianisme ou d'autres cultures) pour qu'une société libre et démocratique soit possible. L'humanisme issu des Lumières n'était rien d'autre qu'une version laïcisée de ces principes.
A l'opposé, l'islam n'est pas compatible avec la démocratie : ce n'est pas une question d'individus, mais une question de système. Les valeurs fondamentales de l'islam sont à l'opposé de celles des sociétés occidentales : inégalité de l'homme et de la femme ainsi que du croyant et du non croyant, non séparation du politique et du religieux, refus de l'innovation et des influences extérieures, pression de la communauté sur l'individu, absence de liberté de conscience et de choix, soumission totale de l'Homme face à Dieu sans remise en cause possible, incitation au mépris, à la violence ou à la domination envers le monde non musulman. Quand les individus sont imprégnés de ces valeurs, la société ne peut que très difficilement être démocratique et libérale, d'autant plus que l'islam engendre une culture basée sur le narcissisme et le rapport de force, là où nos sociétés sont fondées sur le dialogue et le compromis.
Les sociétés de type africain semblent elles aussi avoir beaucoup de mal à être démocratiques, sans doute parce que la structures claniques encore très présentes dans les sociétés font que les individus ne peuvent pas s'émanciper du groupe, contrairement au sociétés occidentales dans lesquelles l'Homme est au centre du système.

Tous les quartiers, toutes les villes, toutes les régions à majorité islamique ou à forte minorité islamique connaissent le même phénomène de partition, de sécession, de rejet de toute acculturation, de toute intégration, de toute insertion : France, Espagne, Italie, Belgique, Suède, Danemark, Hollande, Suisse, partout. Un point commun : l’islam (et non pas l’islamisme)
La non-compréhension des principes énoncés ci-dessus aura des conséquences dramatiques. On en a eu un exemple avec la récente guerre d'Irak : il ne suffit pas de faire tomber un dictateur pour que la démocratie s'instaure, ce que montre bien la guerre civile irakienne. De même, les réponses de type "social" resteront totalement sans effet dans les banlieues islamisées, comme le montre l'échec de toutes les "plans banlieue" et autres politiques de la ville.
La question ne sera bientôt plus de savoir si la démocratie est exportable en dehors d'Occident mais de savoir si l'Europe, en maintenant la substitution démographique à l'œuvre actuellement et en renonçant à imposer ses valeurs, pourra rester libre et démocratique. Pour l'instant, rien n'incite à l'optimisme.

La solution ne viendra pas de dirigeants politiques occidentaux, massivement terrorisés, inconscients ou corrompus, mais des peuples. Les dernières affaires de votations populaires anti-islamiques en Suisse, la reductio ad hitlerum systématique de la vox populi montrent assez la détermination de nos dirigeants à poursuivre leurs politiques de remplacement démographique et d’islamisation de ce continent et à délégitimer toute prétention des européens à prendre en main leur destin.

La solution est dans la subversion du désordre établi, dans le dynamitage du consensus bien-pensant, dans la guérilla de la réinformation : il faut que de plus en plus de gens ouvrent les yeux sur la transformation à l’œuvre, comprennent que le temps joue contre eux et surtout qu’ils ont un pouvoir énorme : le politiciens changeront de doxa du jour au lendemain quand ils sentiront le vent tourner.

Si rien n’incite à l’optimisme, rien n’est perdu.

« Il n’existe aucune garantie que les protections qui prévalent dans les sociétés occidentales seront préservées dans celles qui deviennent non-occidentales. Aucune raison historique ne force à croire que des gouvernements basés sur les libertés individuelles survivront à la disparition des peuples occidentaux. L’Afrique post-coloniale est révélatrice. Dans sa plus grande partie, le continent Noir retourne à ses mœurs ancestrales, renforcées par une infusion d’armes occidentales modernes, comme cela a été montré par les carnages somalien et rwandais. Ce qui bouleverse notre très profond sens de la compassion est compréhensible. Mais le sentimentalisme ne devrait pas nous aveugler quant aux implications à long terme que cela aura sur notre propre survie. De même que de donner de la nourriture à des populations incapables de se nourrir ne fait que hâter l’inévitable catastrophe démographique, déverser en Occident des populations du Tiers Monde accélère simplement la transformation de l’Occident en une extension du Tiers Monde. »
Jane Jacobs, Dark Ages Ahead, 2004.

En cherchant un titre à ce post, je me suis demandé si "survie" n'était pas un peu dramatique...finalement, non. Des politiques migratoires, natalistes et culturelles en cours et à venir dépendent la survie de certaines des valeurs civilisationnelles les plus essentielles de la culture européenne.


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