The Rolling Stones #2 :
Mick Jagger : chant
Keith Richards : chant, guitare
Bill Wyman : basse
Charlie Watts : batterie
Mick Taylor : guitare solo
Les Stones, souffrant d’impôts exorbitants, s’exilent dans le sud de la France et y enregistrent dans la maison de Keith Richards, le double album “Exile On Main Street”, (#1 UK-#1 US) produit par Jimmy Miller, qui sort en mai 1972 .
Rocks off (Jagger-Richards)
Rip this joint (Jagger-Richards)
Shake your hips (Moore)
Casino boogie (Jagger-Richards)
Tumbling dice (Jagger-Richards)
Sweet Virginia (Jagger-Richards)
Torn and frayed (Jagger-Richards)
Sweet black angel (Jagger-Richards)
Loving cup (Jagger-Richards)
Happy (Jagger-Richards)
Turd on the run (Jagger-Richards)
Ventilator blues (Jagger-Richards-Taylor)
I just want to see his face (Jagger-Richards)
Let it loose (Jagger-Richards)
All down the line (Jagger-Richards)
Stop breaking down (trad.)
Shine a light (Jagger-Richards)
Soul survivor (Jagger-Richards)
Musiciens additionnels :
Al Perkins : guitare
Nicky Hopkins : claviers
Ian Stewart : claviers
Bill Plummer : basse
Bobby Keys : saxo
Jim Price : trompette
Jimmy Miller : percussions
Un album de rock’n’roll/rhythm’n’blues sans concession et sans hits d'ailleurs, paillard et festif, qui est considéré par la majorité des fans comme leur meilleur album, ce qui n’est pas mon cas.
Il est de toutes façons un très grand album de la meilleur période des Stones, celle des années 68/73.
Deux singles : “Tumbling dice/Sweet black angel” (#5 UK-#7 US) et “Happy/All down the line” (#22 US).
La grande tournée américaine de 1972 donnera naissance à deux films : "Ladies & Gentlemen : The Rolling Stones" qui sortira en 1974 et le controversé “Cocksucker Blues”, du nom d'un inédit des Stones refusé par Decca.
Ce dernier film, comprenant des scènes compromettantes pour le groupe dont une scène d’orgie restée légendaire, ne sortira jamais .
© Pascal Schlaefli
Exile In Urba City
Janvier 2011