Saint Luc (18, 9-14) : Le pharisien et le publicain.
(Au temple), le pharisien se tenait là et priait en lui-même : « Mon Dieu, je te rends grâce parce que je ne suis pas comme les autres hommes : voleurs, injustes, adultères, ou encore comme ce publicain…
Le publicain, lui, se tenait à distance et n’osait même pas lever les yeux vers le ciel ; mais il se frappait la poitrine, en disant : « on Dieu, prends pitié du pêcheur que je suis ! »
Quand ce dernier rentra chez lui, c’est lui, je vous le déclare, qui était devenu juste, et non pas l’autre. Qui s’élève sera abaissé ; qui s’abaisse sera élevé.
on a dit , je crois, que Luc était médecin.
je ne sais pas ce que cela veut dire à l'époque de Jésus, voire 1 siècle après Sa Mort.
mais je trouve sa prose ( celle de Luc) particulièrement intéréssante.
je publierai donc d'autres extraits de cet auteur-évangéliste