La marche, presque phénoménale, de l’instrument informatique a fait bien de dégâts dans l’univers littéraire. En effet, la production de livre et le nombre de lecteurs ont relativement diminué. Les SMS, les e-mail et, précisément, Internet tiennent éloignés le commun des mortels des bouquins. Les prochaines lignes nous élucideront davantage sur l’origine, l’importance et le futur réservé aux bouquins.
La réalisation du livre est tirée de la résolution de quelques personnes à écrire des textes. Ces textes ne pouvaient avoir une tangibilité ordinaire à long terme, que par le biais des livres. Du bois aux tablettes, le voyage des bouquins est aussi marqué par les papyrus, les scribes et les parchemins. La véritable révolution du livre intervint avec les œuvres de Jean Gutenberg en 1450. En effet, grâce à lui, il devint possible de reproduire un livre, non pas à un seul exemplaire, mais à plusieurs. Plus loin, nous explorerons la destinée du livre.
Beaucoup d’individus se demandent les motifs de toute cette publicité autour du livre. Pour ceux là, il est utile de mentionner que parmi les facteurs importants à la parfaite santé de notre civilisation, les livres ont une place primordiale. A part leur capacité naturelle à accroitre notre pensée et nous éduquer, les livres sont jugés, tel qu’un héritage de valeur inestimable pour les générations futures. En d’autres termes, dans les livres sont relatés et conservés, les plus grands faits de notre existence.
De nos jours, les coûts de diffusion et de réalisation de livres sont réduits, avec l’ampleur de l’Internet. On a désormais, en lieu et place des encyclopédies, des sites web. Le bouquin physique cède progressivement sa place au bouquin électronique (e-book). Ce dernier, en comparaison avec l’univers de la musique, est inquiété par de futurs actes de piratage. Bref, l’avenir du livre se retrouve, beaucoup plus clairement, dans les tablettes électroniques.
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Écrit par Olivier Roland ©
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