Quand l'état de guerre est déclaré, il ne reste qu'une chose à faire: attendre. Patience, et sourires font bon ménage quand les groupuscules syndicalistes et révolutionnaires (l'un ou l'autre, l'un n'excluant ni n'incluant pas l'autre) décident de faire la guerre. Il n'y a rien à faire. Café, thé, chocolat, carburons aux deux euros cinquante centimes le petit café dans une salle surchauffée, à parler des oeuvres décriées par certains.
Rien.
Vide.
Intersidéralement vôtre.