Leur détention porte atteinte à la liberté d'information, liberté fondamentale sans laquelle il ne peut y avoir de
démocratie.
En ce triste anniversaire, je veux aussi penser à tous les journalistes emprisonnés ou menacés tout simplement parce qu'ils
font leur métier celui de collecter, rassembler et commenter des faits pour les porter à la connaissance du public, et aussi à tous les otages retenus à travers le monde, particulièrement aux
six français actuellement retenus en Afrique.
Martine Aubry