Aujourd’hui, flash spécial, deux posts pour le prix d’un. En effet un des monuments de la culture de merde, de la chanson pourrie qui trotte dans la tête et de l’humour bien gras qui suinte le saindoux est décédé d’un cancer foudroyant.
Yvan-Chrisostome Dolto alias Carlos était pour moi, comme pour pas mal de monde, l’incarnation d’une certaine joie de vivre, une sorte de père noel mais avec des chemises hawaïennes et pas de cadeau, l’ami des petits et des grands, et surtout un buveur d’oasis c’est bon c’est bon.
En ce moment c’est un peu l’hécatombe parmi les stars de ma jeunesse. Même si le gros rigolard n’était plus sur les écrans depuis un certain temps et n’avait rien pondu de valable depuis Tout nu et tout bronzé ou Tirelipinpon sur le chihuahua (grand texte métaphysique méconnu sur la dualité de l’homme face au monde moderne), j’ai un petit pincement au cœur en apprenant la nouvelle.
Alors monsieur Carlos, je te fais des bigs bisous.