Un peu de légèreté, par Carla Gerfield

Ma grande complice Carla, a encore oeuvré. Oui elle vient de donner une suite à son célèbre billet : Comment apprivoiser le dijonnais.
Il y eu la première chronique traitant le « sujet »
« Tu as le gros défaut de ne pas être né à Dijon, mais tu y habites depuis quelques temps déjà. Tu commences à comprendre que Chenôve n’est pas Longvic, que Saint-Bénigne n’est pas Saint-Philibert….. » la suite ici

Puis une deuxième
« Vous habitez depuis un certain temps dans la cité burgonde et vous vous adaptez. Ah la pierre blonde, les bons vins, la douceur de vivre… Mais parfois, le dijonnais vous surprend. Il vous arrachera les yeux si vous lui parlez de vins aussi exotiques que le bordeaux ou le saumur et ne reconnaît pour viande véritable que la charolaise. Il est  imbattable sur l’histoire de ses vieilles pierres… » lire la suite

Et voici la suite qui vient d’être mise en ligne
Extrait de la suite
« Poursuivons notre étude de cette drôle de faune qu’est le Dijonnais, en particulier dans sa vie sociale. Un jour, vous rencontrez plusieurs autochtones réunis (un truc où on boit ou on mange, une dégustation de vins ou de persillé, un festival ou un barcamp, qui sait…). Vous sympathisez…. « Voici la suite

Et ensuite regardez le magazine Bing Bang c’est toujours très, enfin comment dire… oh et puis à vous de voir.