Ah quel bonheur de surfer sur des mers agitées et de s’enfuir du bocal que nous concoctent nos marketeurs préférés (Denis Durkin de Microsoft, si tu nous lis, merci pour ta franchise).
Pour ce dernier billet de l’année qui tombe un vendredi – je ne pouvais pas rater l’occaz’ -, je suis allé fouiller dans mes derniers tweets/surfs/e-souvenirs pour vous relater mes découvertes récentes et quelquefois renversantes.
Oui je sais, certains blogueurs ont succombé aux sirènes commerciales, mais nous restons majoritairement fidèles à une seule idée : Dire ce que l’on pense, quelquefois haut et fort. Voici donc un extrait des billets qui m’ont frappé ces derniers mois. Longue vie aux blogueurs (les vrais !)
- Trimtab, le blog de Guillaume Natas, découvert par hasard grâce à son étude sur les usages de l’Internet en 2010 … dans sa famille !
- « La collaboration … une fumisterie ? Quand il intitule un billet, T. Debaillon aime que çà claque ! Puis il le range dans l’une ou l’autre de ses 2 rubriques : « Vécu » ou « Vu, lu ou entendu ».
- Quand Antoine Dupin enfourche ses échasses de blogueur, les propos sont acides, mais un peu vrais somme toute : Mais où est onc passée l’exception culturelle française ?
- En vraie combattante des plates-formes sociales – pas toutes, mais quand même -, Michelle Blanc enfonce encore une fois le clou dans ce billet très remonté contre Facebook.
- Marketing Professionnel accueille des plumes, dont Hervé Bloch, qui nous décrit les 7 pêchés capitaux de marketeurs. Au pif : la paresse !
- “You can steal someone’s words, images, or code instantly. And that means it’s tempting to try to build a business by being a copycat. That’s a formula for failure, though. The problem with this sort of copying is it skips understanding — and understanding is how you grow.” Failure by design, un article à lire, relire, relire, relire, … sur les bienfaits de l’échec par Francisco Inchauste
- What about writing an article purely because you know people are searching for it? Adam Westbrook signe son premier article sur owni et pose une vraie question : Ecrit-on pour les lecteurs ou parce que l’article sera correctement indexé dans Google ? Selon l’auteur, personne n’échapperait à cette règle, ni même les journaliste, dont les titres – et quelquefois les articles – sont directement destinés au moteur de recherche.
- « Never hire a social media expert« , selon Tim Baker, assez remonté contre les nouvelles coqueluches des médias sociaux, souvent plus enclins à se promouvoir qu’à servir leurs clients.
Bon réveillon à tous et au plaisir de nous retrouver en 2011. N’oubliez pas : je suis toujours avide de conseils ou d’encouragements …