Si les derniers évènements de Sidi Bouzid ont permis de révéler la détresse des personnes de cette région, ils ont aussi permis de révéler le décalage entre les principaux responsables des organes de communications officiels et le flux d'informations qui circulent sur le web et sur les réseaux sociaux (principalement Facebook) qui émanent des citoyens.
La scène est partagé entre:
- Agence de presse, radio et télévision publique, l'ensemble des médias traditionnels : Mass Média.
- Les activistes et les principaux protagonistes de ces événements, des citoyens qui disposent simplement de leurs téléphones portables et d'une connexion internet : Média de mass
Communication, la nouvelle donne:
La démocratisation des appareils média et de l'internet haut débit, l'interopérabilité des supports de communications et la pénartration des plateformes sociales ont permis de faire émerger une nouvelle donne dans le conflit opposant communication officiel et officeuse.
Les variables de cette bataille sont sont les suivantes:
- La précense médiatique ne nécessite plus de capitaux importants
- Le plus important est la rapidité et la transmission en direct des évenements
Comme dans la plus part des evénement les plus importants de 21 éme siècle, ( tsunami, attentas, incidents ..) les premières images ont été filmes par des amateurs menu de leur telephone portable, (live report de Slim Ammemou suivi par 700 personnes en ligne et repris ausitot par aljazeera et France24)
Tunisie : les autorités prises par le devant de la scène
Face à l'écaltement des incidents en Tunisie, d'abord on a vu une réaction classique des principales organes de communication qui consitait à dire qu'il s'agit d’évènements isolés utilisés par des groupes pour des fins malsaines. Subermérgé par les flux de videos sur Facebook, ces derniers ( à ce que je pense) ont compris qu'il fallait changer de stratégie, que de toute façon on ne pouvait rien cacher puisque déjà preque 20 % de la population tunisienne est membre du réseau Facebook et ont eu au moins 1 fois dans leur timeline une video ou une image sur les malheureux évènements.
Trois évenements confirment ces faits:
- Le limogage de Directeur général de la Télévisopn et radio tunisienne
- L'interview du ministre de développement régional et des relations internationales avec la chaine interntioanle
- Un article paru dans le journal Essabah qui décrit la vérité sur les évènements.
Une tendance mondiale:
La Tunisie n'est pas le seul au pays dans le monde qui trouve du mal à s'adapter à cette nouvelle donne, on a vu l'Iran il y 2 ans lors des manifestions, des étudiants qui utilisaient le réseau twitter et facebook pour organiser des manifestations. Tout récemment on a vu que mêmes les Etats qui ont une longue tradition de liberté jouranlsitiques n'ont pas été épargné, l'affaire wikileaks et la révalation des documents secrets défense de la guerre en Irak et en Afghanistan et surtout les révélations des câbles dipomatiques ont permis de faire émergéer une nouvelle ère dans le domaine journalistique ; l'hypertransparence.
La solution:
De plus en plus, les Evénements nous montent que l’avènement d'internet est une vrai révolution et non pas une évolution comme certains le prétendent. Plus que des outils technologiques performants , il s'agit d'une nouvelle conception de la vie et de la manière d'intéraction et de communications entre les principaux membres de la socité. Rien ne sert de caher, mieux être clair et établir des canaux des communications à travers ces nouvelles platformes plus accebile et plus souples.Plusieurs Etats dans le monde ont compris cette donne ( Sarkozy invite des blogeurs influents à l'Elysée , How Brack Obama is using web2.0 to run for president).