Léa, 38 ans est chorégraphe et danseuse. La danse c’est sa vie et le moyen pour elle de maintenir un équilibre. Mais, quelque chose au plus profond d’elle même l’empêche de s’investir dans sa relation avec Bruno. Sa mère l’appelle, dit qu’elle aura quelque chose à lui dire. Malgré latempête qui s’annonce, Léa rejoint Romilda dans sa maison près de la mer.Après Les Demeurées et Les mains libres , quel bonheur de retrouver l’écriture d’orfèvre de Jeanne Benameur ! Des phrases courtes, concises, des mots portés à leur apogée par cette écriture ciselée. Onze tableaux pour partager, découvrir Léa, sa mère et Bruno. Léa se sert de son corps comme créateur d’émotions par la danse. Maîtrise absolue des mouvements pour atteindre la perfection. Mais, Léa craint de vivre pleinement son amour avec Bruno. Lui qui fixe dans l’immobilité de la peinture les expressions. Quand il lui demande de poser pour lui, Léa s’enfuit. En parallèle, entre passé et présent, l’histoire de Romilda apparait. La honte qu’elle éprouve est un fardeau. Elle a décidé de tout raconter à Léa. Mère et fille vont se retrouver, elles qui sont distantes et si liées. Romilda va confier son lourd secret à sa fille et lui dévoiler l’autre facette de son père. Je n’en dirai pas plus… Les mots au cœur de la tempête vont trouver leur place et permettre à Léa de comprendre. Admirable…Une fois de plus, j’ai vibré à la lecture de ce roman. J’ai relu certains passages par pur plaisir …Un coup de cœur !D’autres avis chez l’ami BOB.Danser c’est se trouver, seule, à croisée du vertical et de l’horizontal. C’est la seule place qu’elle, Léa, sait tenir.Elle imagine. De toute sa force, elle imagine. Dans le corps de sa mère, elle pénètre, elle se lève. Elle insuffle la danse. Parce que la danse, c’est ça. C’est toujours ça, des corps qui se relèvent.
Léa, 38 ans est chorégraphe et danseuse. La danse c’est sa vie et le moyen pour elle de maintenir un équilibre. Mais, quelque chose au plus profond d’elle même l’empêche de s’investir dans sa relation avec Bruno. Sa mère l’appelle, dit qu’elle aura quelque chose à lui dire. Malgré latempête qui s’annonce, Léa rejoint Romilda dans sa maison près de la mer.Après Les Demeurées et Les mains libres , quel bonheur de retrouver l’écriture d’orfèvre de Jeanne Benameur ! Des phrases courtes, concises, des mots portés à leur apogée par cette écriture ciselée. Onze tableaux pour partager, découvrir Léa, sa mère et Bruno. Léa se sert de son corps comme créateur d’émotions par la danse. Maîtrise absolue des mouvements pour atteindre la perfection. Mais, Léa craint de vivre pleinement son amour avec Bruno. Lui qui fixe dans l’immobilité de la peinture les expressions. Quand il lui demande de poser pour lui, Léa s’enfuit. En parallèle, entre passé et présent, l’histoire de Romilda apparait. La honte qu’elle éprouve est un fardeau. Elle a décidé de tout raconter à Léa. Mère et fille vont se retrouver, elles qui sont distantes et si liées. Romilda va confier son lourd secret à sa fille et lui dévoiler l’autre facette de son père. Je n’en dirai pas plus… Les mots au cœur de la tempête vont trouver leur place et permettre à Léa de comprendre. Admirable…Une fois de plus, j’ai vibré à la lecture de ce roman. J’ai relu certains passages par pur plaisir …Un coup de cœur !D’autres avis chez l’ami BOB.Danser c’est se trouver, seule, à croisée du vertical et de l’horizontal. C’est la seule place qu’elle, Léa, sait tenir.Elle imagine. De toute sa force, elle imagine. Dans le corps de sa mère, elle pénètre, elle se lève. Elle insuffle la danse. Parce que la danse, c’est ça. C’est toujours ça, des corps qui se relèvent.