Les intuitions de Bruce De Palma vont droit au but avec un maximum d'efficacité. A nous d'en tirer des conclusions plus avancées....
Les bons articles ayant tendance à disparaître avec les sites qui les ont produit, nous en reproduisons l'un ou bien l'autre, quand ils s'inscrivent dans notre
recherche sur la compréhension de l'origine de l'énergie libre, l'antigravité....
L'article qui suit est tiré du site magnétosynergie. com
Bruce De Palma
Du disque de Faraday à la N-Machine
Bruce Eldridge De Palma est né en 1935 et étudia les découvertes de Michael Faraday (1791-1867) et notamment son célèbre disque ou générateur homopolaire. Un disque conducteur de cuivre en rotation dans un champ magnétique constant produit un courant électrique.
La théorie conventionnelle de l'induction, qui exige un champ magnétique variable, ne permet pas d'expliquer le phénomène et démontre qu'il nous reste encore à apprendre sur le magnétisme...
Ingénieur en électricité diplômé du MIT en 1958, il a travaillé pour le gouvernement et
l’industrie, avant une licence en physique appliquée en 1961 à l’Université Harvard où il a été conférencier à partir de la fin 1960. Le frère de Bruce est bien connu, c'est le metteur en scène
Brian de Palma.
Il est ensuite parti en Californie car les problèmes sociaux des années 80 l’ont incité à faire une quête spirituelle et à s’impliquer en tant que scientifique. Il pensait que tant que les gens
n’auraient pas une nouvelle source d’énergie moins chère, non polluante, la paix n’existerait pas dans le monde. C’est une famille de Mormons, les Tanners, qui a financé de Palma qui dirigeait
l’Institut de Palma à Montecito (CA).
De Palma regrette que les travaux des années 1800 aient été mis en équations et formules que l’on ne doit pas prendre pour parole d’évangile. Physical Review a déclaré que ses
publications étaient incompréhensibles et a refusé toute demande ultérieure de sa part.
En 1991, de Palma met l’accent sur le fait que la clé de la compréhension
et de l’explication du fait déconcertant de production d’énergie électrique excédentaire anormale dans les machines à Energie Libre est une réinterprétation du magnétisme. Celui-ci n’est pas
une propriété de l’aimant mais une propriété de l’espace lui-même. Le champ d’énergie primordiale montre alors aussi une déformation, conséquence de la réaction de l’espace au champ de force
centripète existant à l’intérieur d’un conducteur magnétisé en rotation.
Bruce dit qu’une N-machine est une machine électrique qui est capable de produire une énergie électrique avec une entrée d’énergie mécanique moindre que celle utilisée de nos jours dans les
machines à induction.
De Palma part du principe que
l’énergie de l'espace traverse toute chose, et donne aux objets leur masse et leur inertie. Il dit :
" Voici un morceau de métal dans le fluide énergétique. Si je le fais tourner, je peux créer en lui, les conditions d’une polarisation ce qui signifie que l’extérieur de l’objet est en
mouvement, et pas le centre. C’est ce que j’appelle le point neutre, le centre est positif et l’extérieur négatif. Quand l’énergie de l’espace traverse ce morceau de métal, il est chargé en
négatif, au contact du bord extérieur en mouvement et positif au centre. La découverte a une base simple, à savoir qu’un disque en rotation dans un champ magnétique produit de l’électricité que
l’on peut extraire simplement avec un contact au centre, et un sur le bord extérieur en mouvement ".
Pendant ses études au MIT, de Palma avait constaté des irrégularités dans
le fonctionnement de 2 roulements à billes tournant différemment, effet qui allait à l’encontre des lois de la physique mécanique. Il construisit alors une machine motrice pour étudier le
phénomène - la dynamique de l'influence de la rotation sur la gravitation. L’accélération gravitationnelle d’un système gyroscopique - disons une balle en rotation par exemple - est différente
de celle d’une balle qui n’est pas en rotation. Une machine à gyroscopes jumelés aurait entre autre, l’étrange faculté de ralentir le mouvement d'une montre de précision tenue au-dessus
d’elle.
Au congrès de Toronto DePalma affirmait en se référant à un article de Böhning, que l’on pouvait considérer presque toutes les grosses planètes comme des générateurs ou des N-Machines. C’est ce qui pourrait expliquer, par exemple, la
formation d’importantes énergies électriques dans le système des anneaux de Saturne.
Il a prouvé sans l’ombre d’un doute, comme à Hanovre, en 1981, avec sa N-Machine, nommée " Transformateur de flux " qu’il était un des meilleurs physiciens dans le domaine des phénomènes
magnétiques.
Il approuve totalement l’axiome du Dr Nieper et dit :
" A partir du flux d’énergie tachyon, le matériau magnétique choisit les oscillations spécifiques que nous nommons magnétisme. Le flux de cette Energie Libre dans l’espace est en même
temps la source fondamentale de toutes les autres énergies, telles l’électricité, la gravitation, les forces nucléaires et atomiques, etc."
Les systèmes de N - Machines ont été étudiés aux USA par De Palma,
Kieninger, Valone, Trombly... (ces trois derniers étant venus au congrès de Hanovre en 1980).
On connaît depuis 150 ans le principe
de fonctionnement des N-Machines, (comme on les appelle aux USA), c’est celui du disque de Faraday ou du générateur unipolaire connu, lui depuis 70 ans. Si on fait tourner très vite un anneau
magnétique, comme un composant de haut parleur, on peut tirer un courant électrique (de charge positive) de la périphérie externe de l’anneau. De plus les propriétés gravitationnelles de ce
système changent, elles peuvent s’améliorer.
Ce qui est nouveau cependant, dans cette théorie, c’est que l’Energie Libre produite par de tels aimants peut devenir supérieure à celle nécessaire à leur fonctionnement. On atteint cette
mesure, au dessus de 100 %, à 7000, 8000 tours par minute. Il est important de noter que le courant de sortie augmente plus rapidement que celui du moteur. De plus, la résistance comparée
n’augmente pas même si on tire un courant supplémentaire de la N-Machine.
Les N-Machines produisent une très basse tension et un courant très élevé. La section du câble de sortie doit être assez forte pour diminuer au mieux la résistance. C’est la méthode
d'extraction du courant de la périphérie des aimants : techniques des balais, du graphite, ou du bain de mercure, qui est la plus problématique. De plus, la matière constituant les aimants
est telle qu’ils explosent facilement. Cependant, le système a un grand potentiel, surtout avec l’électromagnétisme pour les rotors, comme dans le Omegatron de B. de Palma.
Au sujet de l’électricité obtenue à partir du champ de tachyons, les spécialistes ne sont néanmoins pas d’accord pour savoir si le perfectionnement des machines leur permettrait d'entrer en
compétition avec celles basées sur le principe Tesla-Moray-Seike.
Le principe de la N-Machine améliorée pourrait être très important pour une propulsion
spatiale non conventionnelle, car il comprend la même base que celui de Laithwaite. Si on incline continuellement et très vite
des systèmes en rotation, en les fixant par exemple sur le pourtour d’un grand gyroscope principal, alors, le système tout entier peut léviter.
C’est un assemblage cylindrique de 8 aimants céramiques de 7,3 cm de diamètre provenant de vieux haut-parleurs de 13 cm, fixés ensemble à l’époxy par un boulon de 0,95 cm au centre, qui est
placé dans une perceuse qui tourne à 1500 tours par minute. On place 2 contacts électriques dessus, un juste au centre, et l’autre sur le bord du disque métallique collé au milieu de la rangée
des aimants, et on extrait le courant.
La N-Machine elle-même est en réalité fabriquée avec un axe conducteur en cuivre ou en bronze, un disque et 4 aimants ferrites en anneau. Deux aimants sont collés à la résine époxy de chaque
côté du disque conducteur, de façon que l’axe passe ainsi à travers deux aimants, un disque conducteur et deux autres aimants.
Début 1979 De Palma a construit avec ses assistants, un prototype à
Tajlguas. Il dit
" Vous pourrez obtenir 15 à 20 chevaux de puissance d’une machine qui pèse environ 90 kg. Il suffit d’une puissance d’un cheval pour faire tourner l’arbre du rotor, pour contrer la
friction de l’air, des paliers, et des balais, et vous finissez par avoir 19 chevaux pour alimenter, maisons, voiture, hôpitaux...Mais la machine de Sunburst a un rendement de 40. Elle
marchera, silencieusement, jusqu'à ce que les aimants perdent leur force et que les paliers et les balais lâchent. N’importe qui pourra la fabriquer chez lui, après avoir compris comment elle
marche".
Au bout d’un an d’évolution mécanique et de perfectionnements, les essais sérieux ont débuté en Août 1980, les performances ont été annoncées par de Palma le 17/12/1980. Un paramètre important
est le freinage associé à l’augmentation du courant électrique extrait de l’espace.
Le décès de Bruce de Palma
Toby Grotz a appris en octobre 1997 la mort de Bruce par Paramahansa Tewari. Le décès de Bruce (des suites d'une hémorragie interne (ulcère ou cancer dus à certains
abus) a été confirmé le 05/10/97 par Millenium Twain sur Internet INE. Il a été inhumé à West Auckland, en Nouvelle Zélande.
Peu avant le décès de Bruce, Toby lui avait écrit mais sa lettre était revenue avec la mention adresse inconnue. Grâce à Tewari, il put téléphoner mais fut pris à parti par Andrew Mount. Ce
dernier en état de choc car il venait de perdre son ami, son guide et soutien, piqua une colère, injuria Toby, le maudissant et l’accusant de faire partie de tous ces gens (dont Bailey et INE)
qui veulent selon lui censurer l’Energie Libre.
Il accusait Toby d’avoir trahi Bruce car la vidéo tournée en 1993 avait servi dans un documentaire "Free Energy : the Race to Zero Point " (LightWorks), alors que selon lui, elle
ne devait servir qu’à Tewari. Cette même vidéo incluait également des séquences chez Inomata au Japon et en Inde chez Tewari - inspiré par De Palma comme Trombly et Kahn. Toby avait pensé
sincèrement que les séquences avec de Palma constituaient un bon document sur son travail et les avaient donc utilisées.
Il y a eu beaucoup de choses écrites sur de Palma, y compris les véritables raisons qui l’ont amené à aller en Nouvelle Zélande. Il a inspiré de nombreux chercheurs dont Tewari, mais c’est Tom
Valone dans un chapitre intitulé "The Real Story of the N-machine" qui est le plus proche de la véritable histoire, encore qu'il ne dise pas tout…
A suivre
Bibliographie :
(*) Énergie libre et technologie - Jeane Manning - Louise Courteau Éditrice
(*) Free Energy : The Race to Zero Point - Film LightWorks Audio & Video