- Artist: Max Raabe & Palast Orchester
- Titre: Bongo Bong (King Of Bongo)
- Album: Die Hits Des Jahres
- Year: 2001
- Length: 3:13 minutes (4.48 Mo)
- Format: MP3 Stereo 44kHz 193Kbps (VBR)
Exceptionnellement cette année, les poch vous souhaitent la bonne année un peu en avance. C'est affaire d'urgence, ou il est temps d'annoncer à temps, à tous les visiteurs et robots de ce site, et surtout ceux qui ne savent pas ou ils vont atterir le 31... que s'ils veulent réveillonner avec, en fond sonore ou a plein regime, de la bonne musique et éviter ainsi les morceaux a-tunes' et pas complets stockés dans les iphones de leurs amis bien trop inspirés années 80. Manque de Rock, du vrai pas de ces bébés sans burnes... Du reggae ! de la soul, du Funk, ou du bon blues, du très bon Jazz . Ils risquent de mettre le feu à mon avis le soir du 31 ! Laissez faire le jeu du hasard en laissant aux manettes l'inspirante programmation musicale de la nouvelle web radio qui monte ... le djam Radio ! Une bonne source de musique avec de bonnes racines bien profondes, une radio de poch. Ce sont eux devrait developper leur apple-app pour diffuser sur les mobiles iphone/ipad. En plus, ils ont l'air de bons developpeurs Mac/flash, bien créatifs à la vue de leurs réalisations...et passionnés de musique, semble t-il. Les gens seront prets a acheter leurs premieres applications dans l'apple stor pour quelques euros. Et ce sont les fêtes, il faut bien faire fonctionner et donner a manger a sa troisième main qui a poussé depuis noel... Pour quelques euros, meme 3-4€, vu le nombre d'auditeurs potentiel, ca peut rapporter gros. Le problème doit être une histoire de droits.. je sais pas trop comment ca se passe sur internet, mais s'ils commencent à payer, et alors ils finissent comme deezer, annoncés mort avant la fin ? Vous pouvez même élargir votre mur facebooq avec comme nouvel ami Le Djam Radio. Juste avant ce morceau insolite et reprise de la mano , c'était un long passage de Led zeppelin, une histoire contée du dedans par les beat animateurs de l'émission de Fuzz box. Je sais pas si les vibrations qui les entourent sont les mêmes que celles qui s'évaporent et s'évanouissent dans l'antre d'edhel, mais il y a comme des résonnances. Des notions communes qui se degagent autours de percepts sonores... puis ce fût au tour de Jimi Hendrix. le Djam Radio est un bon terrain de jeu pour expériementer la découverte ou l'ignorance coté musique. Un peu de Bob, du Neil Young, du Bobby, j'en passe et des meilleurs, un condensé de nectar de musique de vieux mais avec des trucs de jeuns'... pas encore entendu de blues africain, mais je suis pas furieux djammeur, . s'ils ne sont pas inspirés, qu'ils cherchent ici sur le site... Le plus drôle est la selection des dialogues de films (ca pourrait être la nuit américaine) qui entrecoupent les mix à la différence des publicités soulante "oui on sait que Karglass répare, ...oui on sait que Karglass remplace... mais est ce que Karglass ferme sa gueule?!" . L'autre soir en rentrant tard dans la nuit, chez edhel, les programmateurs etaient aussi inspirés. Edith Piaf - "après tout, ce qu'en pense les autres, on s'en fout !", s'enchainait Jacque Brel, la bière, mais ce devait être une intrusion de la popup des poch... Puis, un morceau de Jeff Buckley pour couronner le tout.
Merci a edhel pour cette découverte.
a l'instant ou j'écris, c'est une nouvelle ritournelle, ca aurait pu etre comme une rengaine de rentrée ou un autre sauveur du monde et sa sauveuse : Angus & Julia stones. Un groupe planant qui porte bien son nom, et qui devrait passer à la maroquinerie :
Rien a voir, mais pour illustrer cet air mélancolique et le hasard, je regarde aussi chez Edhel, les films de Louis Malle - L Inde fantôme :
[...] Il ne s'agit pas d'expliquer ou de dominer l'univers, il s'agit d'en faire partie, de s'y intégrer. En les regardant accomplir ces gestes simples, comme des rites, il me venait parfois des pensées bizarres. Si le bonheur se définit comme un equilibre, une plénitude, un accord avec ce qui nous entoure, une paix intérieure, alors ces indiens seraient plus heureux que nous, qui avons détruit l'environnement, qui nous battons avec le temps dans une course basurde au bien matériel, et qui ne sommes égaux finalement qu'en solitude.
L'homme doit se perdre dans une l'Univers, comme un éléphant dans la forêt, comme un poisson dans l'eau, comme un oiseau dans le ciel... raconte un texte. ... Il y a quelque chose de presque magique dans la précision de ces gestes...
Je finis par tout accepter, par accepter de tout voir sans sourciller. Un après-midi, nous avons la vision iréelle de cet homme poussant une machine à coudre sur cette route déserte. En France ce serait un acte surréaliste. Ici, nous regardons sans rien dire, comme dans les rêves, dans la drogue, nous faisons un voyage hors de la raison, et je finis par me demander sur le hasard a bien sa part dans tout ça ! [...]
Désolé de plomber l'ambiance du 31 par trop de sérieux.... on zap. Une autre belle découverte sur le Djam Radio avec un fameux morceau des marathonians - In my room. Comme ils n'exportent de player flash à embarquer, suis obligé de mettre un clip youtub.
Patientez quelques minutes avant l'entrée en scène des cuivres et de la basse.
A part ça, rien à vous dire juste que de joyeuses fêtes à ceux qui me sont proches, les poch !
Bonne année 2011.
billets en référence: Comme une rengaine : c'est la rentrée