Ca va faire plus d'un an que je jugeais 2012 sans l'avoir vu et je dois vous l'avouer, je n'en disais pas spécialement du bien et puis, il passe à la télé alors, hop, comme c'était le 25 décembre et qu'on avait bien trop manger pour faire autre chose que s'affaler devant un film pas prise de tête devant la télé, autant regarder 2012... J'aurais sans doute pu trouver mieux comme cadeau de Noël.2012, c'est du téléfilm catastrophe du dimanche après-midi qui s'est retrouvé au cinéma... et c'est jamais bon ce genre de chose. Il est vrai que contrairement à ce genre de téléfilm, ici, on ne lésine pas sur les effets spéciaux puisque le film c'est juste une avalanche d'effet spéciaux, qu'ils ont du s'amuser à faire de grosses fissures et des vagues géantes, ça a du être très fun, c'est certain mais nous on s'ennuie.Alors, bien sur, comme les américain, ils sont trop forts (et que c'est toujours eux qui gère les crises mondiales où tout le monde va mourir), on voit le président américain et tout ses acolytes tenté de gérer la situation et puis on suit aussi une super famille dont le père est un écrivain raté qui a prévu dans un de ses bouquins un peu le même genre de choses. J'aime autant vous prévenir, lorsque l'on ne voit pas d'effets spéciaux c'est pour entendre une effusion de bons sentiments à faire vomir. Il faut aider les gens. Mais on ne peut pas aider tout le monde. C'est trop injuste. On reste ensemble, c'est l'important. Oh, je te l'ai jamais dit mais je t'aime et puis vous aussi...A croire que lorsque l'apocalypse viendra, nous nous transformerons tous en bisounours à l'exception de deux personnes plus ou moins méchantes qu'on ne peut pas voir dés les premières secondes du film.Alors on souffle, parce plus de deux heures et demi d'effets spéciaux, même si ce'st super bien fait et ben... ben, c'est un peu lourd, on se demande si les acteurs ont lu le scénario avant de signer et surtout -grande question-, s'il trouvait qu'il était bon. Alors, je n'ai rien contre ce genre de films... quoi que... mais enlever une demi-heure aurait peut-être allégé le tout.
Tout au long du film, on ne peut s'empêcher de se dire "mais c'est improbable" ou "euh... faut arrêter" parce que notre petite bande de héros est peut-être composé de winner et de super personnes super gentilles mais on n'a du mal à croire qu'ils échappe aux nuages de fumés, aux immenses vagues et aux 46 (ce nombre est approximatif) fissures autour d'eux. Alors la prochaine fois, Emmerich ferait sans doute mieux de moins verser dans la caricatures et de bosser un peu mieux le scénar'. Je deviendrai de plus en plus enclin à aimer les film de Bay en comparaison et ça... ça c'est flippant. Sinon, j'espère que vous avez passer un super Noël =D ! (c'est hors sujet, je sais)
08/20 -pour les effets spéciaux et parce que je suis gentille-
Silice.