Ces cons de malades n’ont qu’à pas l’être, et tant qu’à l’être ils n’ont qu’à payer.
A payer doublement d’ailleurs, puisque on les assomme déjà avec les primes d’assurance qui ont actuellement pris une ampleur telle qu’elle mobilise une partie importante du revenu disponible d’un ménage moyen.
Voici donc comment la droite démantèle un état social sans que la gauche ne pipe mot, à part Rossini qui du fond de son Valais rupestre hurle au loup (enfin au seul exemplaire qui reste après que le vieux pays les a occis).
Si la gauche ne saisit pas ce genre d’occasions pour marquer son opposition à ce genre de pratiques mais préfère, à l’instar du parlementaire standard de base, dormir 80 % de son temps et utiliser le reste en apéros et autres inaugurations de chrysanthèmes, elle va au devant de désillusions supplémentaires rapides. Et largement méritées.
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