Film de Laurence Olivier, 1948.
Quelque jour après avoir vu ce film, j’ai entendu la BBC dire qu’il était 100% inspiré par Freud. (Je me demandais aussi pourquoi il y avait autant de plans lourdement insistants sur le lit de la mère d’Hamlet…)
Dommage, je l’avais trouvé fort bon (en dehors d’une Ophélie grasse et mièvre). Shakespeare serait-il insubmersible ?
Toujours est-il que ses ratés lâches et incertains nous parlent bien plus que les héros du drame français de la même époque. Serions-nous tous anglais maintenant ? Greed and fear ?