Fatal, le self-made-movie de Michael Youn arrive en édition collector double DVD et Blu-ray le 23 novembre 2010 ! Une occasion de voir ce film pour lequel j’avais volontairement fait l’impasse lors de sa sortie ciné.
Bonus
Deux heures de bonus et une liste impressionnante !
- 1h de scènes inédites
- Bande originale du film (Bonus Rom)
- Commentaires audio du film
- Making of
- Making of de la musique
- Bêtisier
- Clips, interviews et pubs de Fatal et Chris
- Essais des comédiens
- Galeries photos commentées
- Storyboards
- Projets d’affiches
- Dessins des costumes…
- INCLUS : la bande-originale du film (17 titres en format digital)
Caractéristiques Techniques :
DVD : audio 5.1 Surround
Format Image : 2.35 / 16/9
Editeur : Universal Pictures Video
u technique, je ne pourrais que vous inviter à franchir (si ce n’est pas déjà fait) le pas de la HD. Cette édition SD souffre de la comparaison avec la version Blu-Ray sur le plan de l’image.
Côté audio, par contre, je dis : pas mal du tout ! Le film étant essentiellement basé sur la « musique », il est donc logique de retrouver une piste 5.1 bien agressive avec des basses très marquées.
Le côté artistique
Malgré la réalisation décousue, il faut avouer que les bonnes idées ne manquent pas. Michael Youn reprend son concept de Fatal Bazooka, rappeur issu d’un sketch plutôt réussi alors que l’énergumène officiait au sein du Morning Live! (Ndlr : Ouais, Chui pas venu tout seul ! On est venu avec Grenade Lacrimo, T’as vu ?)
Entre Wesh Tak Tak et autres Bien ou Bien, les onomatopées pleuvent et la critique acide du « milieu » commence à prendre forme.
Dans le duel d’acteurs opposant Michael Youn à Stéphane Rousseau , je trouve personnellement que le comédien québécois prend le dessus. Il interprète à la perfection le personnage de Chris Prolls : un DJ-Bio d’origine Cheyenno-Suédoise, la star montante de l’Electro-pop !
On retrouve également de nombreuses références cinématographiques : Gladiator et le champ de blé ou encore Shining.
Un film que l’on regarde sans risquer la surchauffe neuronale que l’on soit adepte ou pas du style FATAL.
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Extraits